Le voyage date un peu, d’octobre 2017 pour être précis, quelques semaines après mon embole pulmonaire du mois d’août, ce qui fait que je m’en souviens assez bien, mais le récit attendait toujours. J’ai d’ailleurs déjà écrit au sujet du second « gravel trip » dans le même genre en promettant de revenir au premier… Alors voilà, à l’heure où se profilent de nouvelles vacances en Suisse, coronavirus oblige, il peut être bon de se souvenir que nous habitons un sacré beau pays…
Valais
Cols alpins valaisans: la route du col de la Forclaz est remarquable…
Isabelle Bagnoud Loretan dans Le Nouvelliste. «Le col de la Forclaz n’est pas le plus haut des cols valaisans mais il est apprécié par les cyclistes et par ceux qui …
Ni meilleurs, ni pires, bien au contraire
Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas un motorisé qui m’a bien énervé ce soir, entre l’hôpital et la ville de Sion. Mais bien un cycliste. Sans éclairage ni à l’avant, ni à l’arrière, sans catadioptre, au téléphone, adepte du slalom entre autos et de coupes sur le trottoir à 30 km/h. Bref, tout ce que l’on nous reproche à longueur d’année, une caricature vivante de « oui mais les cyclistes vous faites n’importe quoi« .
Tour des Stations: plus beau et plus dur encore…
Après deux éditions à succès, le Tour des Stations redessine ses parcours afin de faciliter son organisation et celle de ses participants. Le départ se fera du Châble avec une première montée en direction du col du Lein (photo dans ce qui sera la descente), tandis que Verbier accueillera toujours les arrivées.
Uvrier, Saint-Léonard, Valais… Même combat?
Samedi dernier, Uvrier accueillait sa première Fête de la mobilité pour une fête conviviale sur le thème d’une mobilité plus durable. Ce fut notamment l’occasion d’échanger sur le thème de la mobilité de demain.
Le Nouvelliste a consacré un article à l’événement.
Le vélo, cet antidépresseur…
[Chronique publiée dans Le Nouvelliste du 9 août 2019 par Caroline Faiss]
C’est encore une image en noir et blanc, où un élégant monsieur moustachu tient fièrement une bicyclette, qui me vient à l’esprit. Paul de de Vivié, ce père du cyclotourisme qui aurait déclaré en 1903: «La bicyclette est une arme de délivrance. Elle libère l’esprit et le corps des inquiétudes morales, des infirmités physiques que l’existence moderne, toute d’ostentation, entretien au grand détriment de la santé.» (source @davidguenel sur twitter)
Sur les chemins de traverse…
Pour éviter le mal de crâne à trop réfléchir au problèmes des berges du Rhône, il suffit en fait de les éviter soigneusement en se laissant porter par l’humeur du moment.
						
						
						
						