S’arrêter au carrefour, au passage piéton… c’est normal. Oui. N’empêche que nous ne le faisons pas toujours, car s’arrêter et repartir est ce qu’il y a de plus pénible à vélo (ami automobiliste qui voudrait sauter sur l’occasion de cet aveu, je vous arrête tout de suite, car vous n’êtes pas meilleur alors que l’effort dans votre cas est bien moindre).
Mobilité
Le vélo comme mode de transport au quotidien, des aménagements existants ou non et un peu de politique aussi ;-)
Bikeable: pour le meilleur et pour le pire
Il faut que je vous reparle du site bikeable.ch, assez remarquable pour signaler les bons aménagement cyclables (utile pour les cyclistes), ainsi que les moins bons (utile pour les autorités, si elles souhaitent améliorer les choses).

Je me suis souvent dit qu’il serait très pratique d’avoir une sorte de « guichet virtuel » pour signaler les problèmes rencontrés sur nos parcours plus ou moins cyclables: trous dans la route, flaques immenses lorsqu’il pleut, signalisation posée n’importe comment, rochers sur la chaussée, route sale, pleine de neige, bandes cyclables mal fichues et j’en passe.
Journée de la mobilité douce au Centre TCS Vaud à Cossonay
La Section vaudoise du TCS poursuit ses festivités en l’honneur de son centième anniversaire en organisant le 27 mai une journée dédiée à tout engin roulant non motorisé. La dernière …
La route se partage, ouais, ouais…
Ceux qui prétendent que les cyclistes roulent n’importe comment (Police vaudoise et Suva en tête) aiment bien leur rappeler que « la route se partage » et que sans respect mutuel rien ne va et patati et patata.
J’aimerais juste dire ici, enfin écrire, qu’avant de pouvoir partager, il faut avoir quelque chose pour le faire. Et des routes, c’est certain que les cyclistes n’en ont pas. Ou si peu. Et là, il doivent les partager de force avec des automobilistes qui n’ont pas le droit d’y être, comme sur les berges du Rhône à Ardon – Conthey.
« T’as tout le trottoir! »
Le pont sur l’autoroute entre Fully et Saxon, avec ses sorties et entrées pour « l’autostrada », est à peu près ce que je connais de plus dangereux sur mes parcours réguliers à vélo, la faute à une conception aberrante et irréfléchie. Sinon, comment expliquer ces « trottoirs » qui vous envoient… sur la piste d’entrée de l’autoroute?

C’est quoi la différence entre…
…un bon et un mauvais chasseur? Bon, celle-là est trop facile, vu que les inconnus ont donné la réponse.
Plus difficile: c’est quoi la différence entre un bon et un mauvais passage sous-voie?
PubliBike: des vélos qui tiennent la route
Je l’ai déjà écrit, mon premier contact avec le système PubliBike ne m’a pas laissé un souvenir impérissable, principalement par la faute de vélos lourds et peu agréables à l’emploi. Ajoutez-y un système d’emprunt un peu contraignant et vous aurez une offre qui n’a jamais vraiment trouvé son public.
Ça, c’était avant. Avant la version 2018 du PubliBike, présentée à Sion le 21 mars dernier, premier jour du printemps s’il fallait un symbole du renouveau.
PubliBike à Sion: une offre (enfin?) séduisante
Lorsque PubliBike a installé ses premiers vélos en ville de Sion, en 2010, j’avais été séduit par le principe, mais vite refroidi par les vélos, lourds, mous et poussifs. Après quelques essais, je m’étais vite résolu à payer pour embarquer mon vélo dans le train lorsque j’optais pour ce moyen de transport, plutôt que de risquer de me détourner totalement du vélo.
Cela pourrait enfin changer.

La société de vélos en libre-service PubliBike et la Ville de Sion ont en effet présenté ce mercredi leur réseau modernisé et étendu. Ce dernier propose désormais 56 vélos, dont 18 à assistance électrique, répartis sur 9 stations, dont une à l’hôpital, ce qui constitue la première bonne nouvelle dans mon cas, puisque j’y travaille.
Défi vélo: promouvoir le vélo auprès des 15-20 ans
Face au recul de la pratique du vélo chez les jeunes, DÉFI VÉLO vise à faire (re)découvrir aux 15-20 ans le plaisir de la petite reine par l’action et le jeu, tout en les sensibilisant à la sécurité routière.
Ce projet ambitieux et novateur vise à promouvoir de manière ludique l’usage du vélo et la sécurité routière. Cette action permet de montrer aux jeunes les nombreux avantages de la petite reine – pour la santé, l’environnement et la mobilité, en réaction au recul de la pratique du vélo et aux enjeux sociétaux qui y sont liés.
Strava fait sa pub grâce aux militaires
Depuis ce 29 janvier 2018 au matin, Strava a droit à une couverture mondiale dans la presse généraliste, en raison d’une de ses fonctions parfois méconnues, la “heat map”. Une carte des trajets réalisés dans le monde entier par les sportifs (ou pas) qui enregistrent leurs parcours sur la plateforme, via un GPS, le smartphone ou d’autre moyens.
Selon qu’un itinéraire est emprunté plus ou moin souvent, le trait grossit et la couleur change, ce qui permet de reconnaître les itinéraires les plus fréquentés. L’accès est public et gratuit, mais les organismes qui le souhaitent peuvent obtenir des données plus détaillées, mais payantes.
Les piétons, ces dangers publics (enfin selon certains)
In a battle between one person wearing clothing and shoe-leather and another wearing a speeding, combustible two-ton metal machine, Ford wants us to believe that the former is the real …