Comme il n’y avait pas trop d’explications à l’entrée du chantier sur les raisons de la fermeture des berges à la circulation (pour tout le monde…), je suis allé (enfin mon messager électronique) poser quelques questions à l’Office cantonal de la construction du Rhône.
Fully
Un coup de main à la première échappée?
Ce dimanche 7 avril le Vélo-Club Excelsior organise la 53ème édition de sa course nationale, rebaptisée GP L’Echappée. Le « Valloton » n’est plus et il s’agit très certainement de la dernière édition à Fully, avant un déménagement à Martigny. Si vous souhaitez être de la fête sans dossard sur le dos et le casque, les organisateurs cherchent encore quelques bénévoles pour mettre sur pied cette course dans les meilleures conditions.
Sur les chemins de traverse…
Pour éviter le mal de crâne à trop réfléchir au problèmes des berges du Rhône, il suffit en fait de les éviter soigneusement en se laissant porter par l’humeur du moment.
Les berges du Rhône sont une piste cyclable.
A condition de croire les panneaux. Mais on ne peut apparemment pas se fier à la signalisation.
Dans la vie, il y a des cactus…
Comme je ne recule devant aucun sacrifice pour tester mes vélos dans toutes les conditions, je suis allé faire un petit tour dans mon coin préféré en cette saison de froidure: le coteau de Fully et la zone des Follatères. On peut y rouler au sec et au chaud presque toute l’année. La preuve? Des cactus sauvages qui semblent se plaire entre le village de Mazembroz et chez moi.
Portail de Fully: c’est beau l’automne
Parfois les images parlent mieux que les mots. Pas trop de texte donc pour évoquer la sortie dominicale alors que la Fête de la châtaigne battait son plein à Fully.
La cabine de Dorénaz-Champex d’Alesse étant prise d’assaut (une bonne partie de son chiffre d’affaires est sans aucun doute assuré par des cyclistes), une partie de notre petit groupe est parti à vélo depuis la plaine.
Du Portail de Fully à la cabane Mont-Fort
Chaque année au printemps, je regarde vers le haut. En direction de Sorniot, sur les hauts de Fully, ou en direction de la Pierre à Voi, au-dessus de Saxon. Cela me paraît toujours si haut que je me demande si j’aurais le courage d’y remonter à vélo, encore cette année…
Mais ce qui est sympa avec le vélo pratiqué régulièrement, c’est que la motivation accompagne la forme physique et que tout soudain on ne se pose même plus la question.
[Test] BMC Agonist : un crosseur qui aime le trail
« Disclaimer » pour commencer : je n’ai pas acheté ce vélo, mais y ai eu accès gracieusement par le magasin de mon épouse. De quoi placer mon ressenti sous le sceau de la complaisance pour certains (même si vous pouvez l’acheter où vous voulez, hein) qui peuvent s’arrêter ici.
Pour les autres, je vais essayer d’être aussi honnête que possible, même si j’ai surtout du bien à dire de ce vélo. Comme de mon Rocky Mountain Element 970 RSL, au sujet duquel je vais bientôt vous proposer un compte-rendu « longue durée ». Qui a pris pas mal de retard, surtout en raison de mes soucis de santé en 2017 (opération du genou en mai après une chute à 300m de l’arrivée de la Transvésubienne, thrombose au mollet en juin et embolie pulmonaire en août). Aujourd’hui, la santé est bonne, la forme de retour, en tous cas suffisante pour tester honnêtement quelques vélos au-delà de l’utilisation du PubliBike.
Il reste de la neige, mais ouf, pas partout
Un bien belle fin de semaine, avec des températures estivales, dont je retiendrai surtout que certains coins sont encore inaccessibles à vélo, en raison de la neige. Ou des avalanches qui obstruent le passage, comme à Dugny, en-dessous d’Ovronnaz. On peut certes les franchir à pied, mais une avalanche de cette ampleur ne laissait rien présager de bon plus loin, entre Randonne et Chiboz, puis entre Chiboz et Buitonne, avec encore pas mal de neige qui peut glisser depuis bien plus haut.
Encore un retour en Suisse
Depuis quelques années, ma semaine de Carnaval rime avec camp de la Fédération cycliste valaisanne (oui, je sais, ça ne rime pas). Depuis trois ans, nous nous rendons à Empuriabrava pour profiter des routes assez exceptionnelles de la région de Rosas, avec des automobilistes tout ce qu’il y a de plus respectueux des cyclistes. Le climat est aussi plus propice au vélo, même lorsque ces vacances de Carnaval tombent très tôt, comme cette année. On passera sur l’hôtel, qui peut faire l’affaire pour un camp d’entraînement, mais que l’on peut éviter pour ses voyages privés, sauf si on aime se faire engueuler par les responsables de la salle à manger…
Le retour en Suisse est toujours assez rude, où l’on se rend compte que les cyclistes comptent toujours pour beurre.
A Fully, il y a des cactus…
C’est un endroit où je passe assez souvent, entre Mazembroz et la falaise de Beudon. Avant, on pouvait passer par une petite vigne, en contrebas de ce “nouveau” petit sentier. Mais le (ou la, je ne le/la connais pas) propriétaire de cette vigne, traversée par un sentier pédestre, n’aime pas les cyclistes. Il a d’abord bricolé son panneau d’interdiction, voilà quelques années (la photo a dix ans).
Mais cela embêtait aussi les piétons et il a obtenu de la Municipalité locale l’installation d’une signalisation tout ce qu’il y a de plus officielle. Comme je suis presque toujours respectueux des interdictions, je ne passe presque plus jamais à cet endroit, détournant mon chemin par le fameux “sentier du cactus”, pas des plus accessibles à vélo mais toujours spectaculaire.
A l’école à vélo…
La Commune de Fully encourage les élèves à se rendre à vélo à l’école. L’intention est louable (cela permet aussi – … lire la suite