Que ce soit clair d’entrée, je suis ici chez moi, je teste des trucs que j’ai achetés (dans le cas contraire je le mentionne, même si je ne suis pas à vendre), j’en parle si j’en ai envie et ça intéresse qui ça intéresse. Premier « disclaimer ». Second « disclaimer »: oui, mon épouse vend des vélo électriques Stromer, à l’enseigne de Stromercenter.ch, à Sierre [mise à jour, avril 2019: cette enseigne n’existe plus comme telle, mais vous trouverez des Stromer dans divers magasin, en Valais chez Ciclissimo, où travaille mon épouse, donc ça ne change pas grand chose au « disclaimer »…] Je suis donc assez directement intéressé à cette marque et à ce qui peut s’en dire.
Medias
Privateer, c’est fini
Trois ans après son lancement, le magazine britannique consacré au mountain bike « Privateer » va cesser de paraître. La 18e édition, dont la parution est prévue à la mi-novembre sera la …
Oui, la descente ça peut être dangereux
Un peu étonné de la « polémique » rapportée par la RTS mardi matin: les descentes du Tour de France 2013 seraient trop dangereuses, notamment celle de l’Alpe d’Huez, à parcourir le …
A Fork In The Trail by Privateer
Comme souvent, un sujet sympa du magazine très classe Privateer. L’histoire des fourches Pace rachetées par DT. Malheureusement en anglais pour ceux qui ne le lisent pas. A Fork In …
Rouler couché, ça déménage
Rencontre sympa avec un gars un peu fêlé l’autre jour. Yannick Lutz, ce Français installé à Fully, je le connaissais pour être un sacré gros moteur sur les courses de …
Un peu de lecture – de Velo Vert à Privateer
Une inflammation au genou, un rhume carabiné par dessus… C’est l’hiver. Et l’occasion de lire les magazines qui s’empilent. Le dernier Vélo Vert par exemple, une bonne découverte dans sa nouvelle formule qui mêle papier glacé pour les news, les tests et autres actualités, et papier mat pour les interviews. Très classe.
Très classe mais pas encore autant que ce magazine anglais, « Privateer » qui lui est vraiment très, très classe. Evidemment, mieux vaut lire l’anglais, mais le contenu en vaut la peine et la mise en page est vraiment soignée. Dix-neuf pages par exemple pour l’interview de Hans Rey – la légende du VTT que les moins de vingt ans ne connaissent pas – dans le dernier numéro. Une édition qui se permet d’afficher… un poisson mort en couverture.
Cette treizième édition de Privateer ne déroge pas à a règle: des « histoires », des vraies sur le VTT, pas de nouveaux produit, pas de tests de matériel… Mais des chroniques, dont celle de Charlie Kelly, le pionnier du Mountain Bike, des tranches (des grosses) de vie, des images bien mises en valeur. Bref un plaisir à toucher, regarder, lire et feuilleter.
Et un sous-titre qui résume le tout: « Mountain Bike Syndrome ».
Bicycling, Bike, Privateer et… Armstrong
Entre les abonnements papier, digital, cadeaux et commandes spéciales, ils ont dû se mettre d’accord. Tout est arrivé le même jour. C’est pas comme si je manquais de lecture ce soir… Et tout ça le jour où l’USADA publie son dossier (ci-dessous) consacré à Lance Armstrong. Par où je commence, hein?
