Le Nouvelliste annonce que trois projets d’agglomération valaisans vont toucher un joli montant (180 millions de francs) de Berne: Ces montants … lire la suite
Les déprédations sont surtout dues aux motos de cross ou de trial, ainsi qu’aux VTT de descente, le sentier en question étant très apprécié des vététistes qui rejoignent la plaine depuis la Croix de Cœur, via la Pierre à Voir et le Col du Lein.
Dommage pour les enfants et jeunes de la région qui vont perdre un bel endroit pour leurs entraînements. Sur la route on ne veut pas d’eux, sur les sentiers non plus.
C’est juste en face de chez moi… et j’y vais si rarement. Il faut dire qu’à Fully, nous sommes plutôt gâtés, avec plein de beaux chemins à rouler toute l’année, hiver compris, sur le coteau exposé plein sud et à l’abri du vent.
Mais le printemps venu, il peut être sympa de varier les plaisirs, surtout s’il ne fait pas trop beau (je n’ai pas dit qu’il faisait moche, selon les critères de certaines régions voisines, il faisait grand beau aujourd’hui en Valais). Juste un peu frais avec un petit 13 degrés en plaine avec beaucoup de vent.
Ce billet a été mis à jour le 20 juin, avec la position de la commune de Charrat, qui fait finalement machine arrière.
On pensait avoir échappé au pire, certes un peu loin de chez nous, dans le canton de Berne. Les autorités envisageaient d’interdire le VTT sur les sentiers et autres chemins forestiers. Le tollé fut général et même la presse généraliste s’épancha sur la question.
Le canton de Berne a fait machine arrière, mais en Valais, très discrètement pour l’instant, la commune de Charrat vient de décréter les VTT indésirables ailleurs que sur les routes carrossables. Les autorités basent leur décision sur la Loi sur la circulation routière du 19 décembre… 1958. Cette dernière précise en effet que les cycles ne sont pas autorisés sur des chemins manifestement pas prévus à leur effet, comme les chemins pédestres.
C’est oublier un peu vite que les VTT n’existaient pas vraiment en 1958 et ce qui n’était manifestement pas possible à une époque sans bouchons sur l’autoroute, l’est (possible) depuis la fin des années huitante.