Nul n’est censé ignorer la loi, ni omettre de lire les petits caractères des contrats ou, en l’occurrence, de l’ordonnance d’application … lire la suite
Vélo Vert: «cette discipline fascinante» Des courses de vélomoteurs, ça fait rêver… à choisir on peut préférer l’Alpenbrevet, qui assume sa … lire la suite
Comme quoi, on peut être adepte du e-bike et marcheur à la fois. Et comme les organisateurs sont sympa, et surtout des amis, je vous mets le « teaser » de leur « Family & Friends Haute Route ».
Les déprédations sont surtout dues aux motos de cross ou de trial, ainsi qu’aux VTT de descente, le sentier en question étant très apprécié des vététistes qui rejoignent la plaine depuis la Croix de Cœur, via la Pierre à Voir et le Col du Lein.
Dommage pour les enfants et jeunes de la région qui vont perdre un bel endroit pour leurs entraînements. Sur la route on ne veut pas d’eux, sur les sentiers non plus.
Comme je ne recule devant aucun sacrifice pour tester mes vélos dans toutes les conditions, je suis allé faire un petit tour dans mon coin préféré en cette saison de froidure: le coteau de Fully et la zone des Follatères. On peut y rouler au sec et au chaud presque toute l’année. La preuve? Des cactus sauvages qui semblent se plaire entre le village de Mazembroz et chez moi.
Evolène accueille ce dimanche l’élite suisse du VTT marathon à l’enseigne des championnats nationaux de la discipline. Pour l’occasion, le parcours … lire la suite
Le 3ème BMC-Chauxmont Super D aura lieu dans moins de 4 semaines, le samedi 20 septembre. «Pour cette nouvelle édition nous conservons évidemment … lire la suite
En 1992, Olivier Wanner remportait le Grand Raid entre Verbier et Grimentz au guidon d’un Cilo de 12,5 kg. Retour sur les évolutions des VTT en 20 ans.
Difficile de rater ce vélo jaune et rose fluo lorsque l’on franchit le pas de porte de Wanner Cyles à Orbe. Un Cilo qui trône à deux mètres du sol, au-dessus du comptoir. Le vélo utilisé par le patron, Olivier Wanner, lors de sa victoire entre Verbier et Grimentz en 1992.
«Je me souviens bien de cette journée d’août 1992, avec les Breu, Jaccard, Perakis, Siegenthaler ou Schneider », explique Olivier Wanner qui passera la ligne d’arrivée du Grand Raid en vainqueur. « On était monté la première bosse jusqu’à la Croix de Coeur comme des fous. Beat Breu n’était pas descendu du grand plateau », détaille-t-il.
Philippe Perakis avait attaqué dans la descente sur la Tzoumaz et personne ne l’avait revu avant les longues traversées entre Eison et l’A Vieille. « Il était cuit. Dans la descente sur Grimentz, j’étais sous pression, car c’était un excellent descendeur. Mais finalement c’était Pascal Jaccard qui avait fait deuxième. » Temps du vainqueur : 6 h 50. Le tout au guidon d’un vélo de 12,5 kg.