Départ du Châble pour le Tour de Romandie 2013

Les étapes du
Les étapes du

Avec un prologue en côte entre Le Châble et Bruson le mardi 23 avril, le Valais accueillera le départ du Tour de Romandie 2013. Le lendemain, départ à Saint-Maurice pour rejoindre Renens. Le 25 avril, départ de Prilly 2013 en direction de Granges (Grenchen, Soleure) où sera inauguré, également en 2013, le vélodrome Suisse. La 3e étape, vendredi 26 avril, sera constituée par trois boucles autour de Payerne. Le samedi, la grande étape de montagne reliera Marly aux Diablerets. Enfin, dimanche 28 avril 2013, Genève sera à l’honneur avec la dernière étape, un contre-la-montre individuel autour du jet d’eau, sur les deux rives du Léman et sur les quais de la ville.

« Ce chrono mettra un terme à une boucle offrant un parcours dense, complet, qui va donner la possibilité de briller à tous, rouleurs, grimpeurs, sprinters », se félicitent les organisateurs sur le site internet du Tour de Romandie. « Un parcours qui devrait être assez sélectif pour désigner un vainqueur du niveau des derniers lauréats: Cadel Evans et Bradley Wiggins. »

Explications en vidéo (avril 2012) du directeur du Tour de Romandie, Richard Chassot

RoadLogic, une beauté noire

Il n’y a pas à dire, un cadre acier revu par Tom Ritchey, ça garde une certaine gueule. Pour ne pas dire une gueule certaine. Quelque 40 ans après ses premiers points de soudure, il nous propose son dernier RoadLogic.

Ritchey RoadLogic
Le Ritchey RoadLogic, une belle bête pour de belles sorties?

Cadre acier et passages suffisants pour des pneus de 28c devraient garantir un certain confort pour les sorties au long cours, « tout en gardant  un caractère suffisamment sportif pour le sprint d’arrivée en fin de journée« , précise le communiqué de presse. L’ensemble est donné pour un poids de 1769 grammes (cadre 55 cm) + 345 grammes pour la fourche carbone. Le tout pour un prix de vente conseillé de 1140 €.

Un air de « Ronde » à Fully

 

Nouveau parcours avec une bosse supplémentaire du côté d’Ecône pour l’édition 2012 du Grand-Prix Valloton qui s’est couru ce dimanche 1er avril à Fully. Une septantaine de mètres de pavés lui on même donné un petit air de Tour des Flandres qui a d’ailleurs eu lieu le même jour avec la victoire de Tom Boonen. Afin de conserver et développer encore ce caractère particulier de la course, les autorités communales ont déjà décidé de paver l’ensemble de cette nouvelle montée à travers les vignes pour la prochaine édition. (Edit de la publication du 1er avril ;-))

Le champion et le raton

Beau parallèle aujourd’hui entre VTT et cyclisme sur route. Nino Schurter, plus fort tant sur le plan physique que technique – quelle démonstration dans le rock garden de Pietermaritzburg – qui gagne la première manche de la coupe du monde de mountain bike. Et Fabian Cancellara qui se fait coiffer au sprint par le raton Gerrans à Milan – San Remo. Si l’intelligence évoquée par certains consiste au suçage de roue intensif, on n’a pas la même conception du sport et de l’honneur. Vivement les pavés que les braves s’expliquent.

Cancellara démarre et pose tout le monde

Le cyclisme est un sport assez simple. Les coéquipiers de Cancellara fatiguent le peloton, Spartacus attend que tout le monde soit bien à fond et démarre… Presque en facteur, bien assis.

 

 

Le meilleur doit gagner, pas le plus chanceux. Et si c’était le même?

D’abord les oreillettes étaient indispensables à la sécurité des coureurs cyclistes. Maintenant elles le sont pour donner des instructions ou répondre aux besoins des pros du peloton. Dans cette interview à VeloNews.com, Jonathan Vaughters, le patron de Garmin Transitions détaille ses arguments en faveur des oreillettes. Il cite l’exemple de Thor Hushovd qui voulait changer de veste: « Il a pu nous appeler et nous avons eu le temps de récupérer sa veste dans la valise et la lui passer. Ce qui a pris vingt secondes aurait pris cinq minutes sans radios« .

Très actif sur Twitter, Vaughters répète aussi qu’il « préfère les courses remportées par la meilleure équipe avec le meilleur coureur. Pas grâce à des événement hasardeux et une communication trop lente« .

Bon, je veux bien. Mais moi, c’est à la base que cela me chicane. Pourquoi diable a-t-on besoin d’une voiture pour faire du vélo?

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Une sortie… revigorante

Un timing un peu approximatif m’a fait partir sous la pluie plutôt qu’avec le soleil en ce 8 décembre, jour chômé en Valais. Une température de quatre à six degrés, une route trempée et des pistes cyclables pas déneigées du tout, un peu de vent… La neige mise à part, je me suis presque cru revenu au Tour des Flandres d’avril dernier, du point de vue météo au moins. Pour le reste, la distance n’y était pas, les bosses non plus, et surtout pas la foule et l’ambiance.

Cette sortie m’a au moins permis de vérifier l’efficacité du garde-boue SKS à l’arrière. Vraiment bien, vu que ce qu’il y a de plus désagréable, c’est les fesses trempées. Pour les pieds, par contre, pas de miracle. Les couvre-chaussures les ont tenus au sec quelques minutes, pas davantage.

Pas de miracle non plus avec les pistes cyclables. La route est déneigée, les trottoirs sont déneigés, mais les pistes cyclables sont au mieux laissées telles quelles. Le plus souvent elles servent de dépôt pour la neige de la chaussée principale. On a beau mettre des conseillers d’Etat sur des Regio Bike, la promotion de la mobilité douce a encore du chemin à faire au quotidien dans certains esprits. Dans le même ordre d’idées, j’ai constaté aujourd’hui que les berges du Rhône, cyclables, étaient déneigées de Leytron à Saillon y compris. La frontière avec ma commune, Fully, était par contre clairement visible…

Le jour où je suis devenu un « vrai Flandrien »

Ma plaque de cadre, un souvenir bien ancré…
Ma plaque de cadre, un souvenir bien ancré…

«Alors ce Ronde, tu l’aimes?» Lorsque ce cycliste flandrien avec qui je roulais depuis quelques minutes en ce 3 avril 2010 m’a posé la question, je n’ai pas répondu tout de suite… C’est que nous étions au sommet du deuxième mont seulement de ce Tour des Flandres 2010, sur un total de 15. Et c’était déjà pénible après plus de 130 kilomètres parcourus au plat, mais sur des pistes cyclables, avec des arrêts à tous les feux rouges, dans le vent, sous la pluie, et par une température autour de 5 degrés centigrades.

Quelques kilomètres plus tôt, ce même compagnon de route avait bien tenté de me convaincre que ces conditions météorologiques faisaient de moi un «vrai Flandrien». J’ai bien compris ce qu’il voulait dire, mais je n’étais pas certain de vouloir être un Flandrien. Alors, à peine quelques instants plus tard, dire que j’aimais ça était pour le moins exagéré. Ou prématuré.

Le vent dans la gueule, avec de l’eau

C’est que le “Ronde” se fait apprécier sur la durée, et, surtout, l’arrivée franchie. Les 130 premiers kilomètres sont ennuyeux, autant ne pas le cacher. Les 130 derniers, passionnants. Passionnants pour qui n’a jamais roulé sur des pavés, franchi ces monts aux raidards destructeurs et découvert l’amour des Flandriens pour le vélo et cette course en particulier.

Première demi-surprise donc, la météo. Chez nous, il pleut ou il souffle, rarement le deux en même temps. Là-bas, l’un ne va pas ans l’autre. Le froid ensuite. Ici, on se dit que ça fera bien un peu de neige en altitude, toujours ça de pris. Dans les Flandres, on se dit juste qu’il fait froid…

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Julien Taramarcaz chez BMC ?

Selon le site lenouvelliste.ch, le Valaisan Julien Taramarcaz aurait eu des contacts avec John Lelangue, directeur sportif de l’équipe BMC. «Il n’est pas exclu qu’on lui propose un contrat pour 2010. On attend toutefois d’apprécier sa progression durant l’année», explique -t-il au site du journal valaisan.

Impey va mieux, merci pour lui

Victime d’une chute d’une incroyable violence provoquée par Theo Bos lors du dernier Tour de Turquie, le Sud-Africain Darryl Impey va mieux, nous apprend lequipe.fr Tant mieux, même si celui qui a provoqué la chute – volontairement ou pas – ne semble pas encore avoir bien réalisé ce qu’il a fait.

«Impey a failli coincer Theo dans les barrières. Celui-ci l’a repoussé avec son bras et lui a fait perdre l’équilibre. Mais il ne l’a pas volontairement fait tomber», se défend le directeur sportif de Rabobank Nico Verhoeven. 

Sauf que, à mon avis, Boss remonte Impey avant de l’accrocher… Alors quoi? 

Pas vu la vidéo? Elle existe aussi en version longue sur YouTube si vous voulez voir les trois derniers kilomètres de l’étape.