If cyclists have a bad name about their rogue behaviour where you live, it’s simply because they are not provided with well-designed infrastructure. Good design inspires good
S’il le dit, ce doit être vrai. Exemple à suivre.
Un type à vélo. Parfois cycliste aussi.
Le vélo comme mode de transport au quotidien, des aménagements existants ou non et un peu de politique aussi ;-)
If cyclists have a bad name about their rogue behaviour where you live, it’s simply because they are not provided with well-designed infrastructure. Good design inspires good
S’il le dit, ce doit être vrai. Exemple à suivre.
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Le message de la pompe à essence.
Le Conseil fédéral à décidé de simplifier les règles actuelles concernant les vélos à assistance électrique et de les adapter. Ces vélos seront désormais répartis en deux catégories, a-t-il décidé le 2 mars: celle des « cyclomoteurs légers » et celle des « autres cyclomoteurs.
Désormais, les vélos électriques d’une puissance maximale de 500 watts font partie de la catégorie des cyclomoteurs légers. Ils peuvent atteindre une vitesse maximale de 20 km/h sans pédalage et 25 km/h avec pédalage assisté, explique le gouvernement suisse. Le port du casque n’est pas obligatoire pour ces usagers, mais recommandé.
La seconde catégorie, réunit les vélos plus rapides, dont la puissance varie entre 500 et 1000 watts et qui peuvent atteindre 20 à 30 km/h sans pédalage et jusqu’à 45 km/h avec un pédalage assisté. C’est typiquement le cas de mon Stromer, par exemple. Ces vélos doivent être munis d’une plaque de contrôle et le port du casque est obligatoire. Casque de moto homologué si la vitesse peut dépasser 20 km/h sans pédalage, casque de vélo si l’assistance au pédalage permet de dépasser les 25 km/h. Pour résumer, si vous pédalez, vous pouvez aller plus vite avec un casque plus léger. Il y a tout de même encore des avantages à faire tourner les jambes…
Les mesures entrent en vigueur le 1er mai prochain et le port du casque sera obligatoire dès le 1er juillet. Elles semblent assez intelligentes et peu contraignantes pour être adoptées sans trop de problèmes, tant il est vrai que les vitesses atteintes et le manque d’habitude de certains autres usagers de la route face à ces nouveaux vélos rapides peuventt rapidement causer des accidents plus ou moins graves.
Le canton de Berne envisage – ce n’est qu’un projet de loi pour l’instant – d’interdire le VTT sur ses sentiers. L’information date de quelques semaines et plusieurs médias l’ont déjà relayée. «Les vélos causent des dommages aux sentiers, surtout quand le terrain est humide, explique au Matin Rudolf von Fischer, chef de l’Office des forêts du canton de Berne. De plus, nous constatons une augmentation des conflits entre les cyclistes et les autres usagers de la route.» Bon, on ne parle pas de la route, mais des sentiers. Par contre, il est amusant de constater que cet argument des conflits entre usagers ressort à intervalles réguliers depuis les débuts du VTT. Un abruti à la ville reste un abruti à la montagne, qu’il soit à pied ou à vélo et ce n’est pas une loi qui va changer cela.
Pour contrer le projet de loi bernois, c’est aujourd’hui au tour de Swiss Cycling de lancer un pétition en ligne, déjà signée par quelques milliers de personnes.
Lundi matin… Température ressentie à l’arrêt –9 selon WeatherPro. À vélo je dis pas. Petits gants pas suffisants. Sur la route, … lire la suite
Au printemps dernier, à la faveur du déménagement de mon lieu de travail, j’ai voulu essayer de me rendre au travail avec une combinaison vélo-train (avec le vélo dans le train) – vélo. Pas trop assidu durant l’été, j’ai insisté durant l’automne et en ce début d’hiver, aidé en cela par une voiture qui rendait l’âme.
Depuis octobre, je quitte ainsi mon domicile à vélo, pour une petite dizaine de minutes de trajet jusqu’à la gare de Saxon. Là, j’embarque ma bécane dans les confortables rames régionales de Regionalps pour un petit quart d’heure jusqu’à Sion. Le dernier trajet, à vélo, prend six à sept minutes jusqu’à l’hôpital où je travaille.
La météo de cette fin d’année 2011 a été assez rude, avec beaucoup de pluie et de la neige jusqu’en plaine. L’occasion de me souvenir d’un dicton suédois: « Il n’y a pas de mauvais temps, seulement des mauvais habits… » Je me suis ainsi équipé, au gré de la détérioration des conditions météorologiques. Illustrations ci-dessous.
Le vélo d’abord, avec des pneus « neige » nokian. La gomme tendre offre un meilleur grip sur les chaussées froides et ce pneu est très confortable au roulement. Les crampons aident bien dans la neige, mais ne peuvent rien sur la glace vive comme j’ai pu le constater à mes dépens. Pour cela il existe des versions à clous, toutefois peu utiles dans nos contrées de plaine où la route est assez vite débarrassée de sa neige ou de la glace.
Pour la petite histoire, ce vélo est mon premier VTT, un Scott Montana de 1991, transformé en vélo de transport.
15 ans en janvier, près de 270’000 km au compteur… Ma Volvo V40 n’est plus en circulation. Elle fonctionne encore bien, mais plus assez pour passer sans frais le contrôle technique… Snif.
A mon avis, avec ce genre de raisonnement on marche sur la tête. C’est bien connu, les voitures qui font du … lire la suite
Après la pluie, le début de la tempête Joachim et la neige en plaine. Les pneus spéciaux ne sont pas encore arrivés alors c’est un peu freestyle ce matin 😉
Mais bon, avec une tempête à mon nom, je ne pouvais tout de même pas rester à l’intérieur.
Edit à l’arrivée au bureau: à Sion c’était pire, la croûte de glace était déjà formée sur les voies de roulement. J’avoue que j’ai emprunté les trottoirs par endroits. Pas trop envie de me coucher devant une voiture, surtout que certains n’avaient pas l’air trop à l’aise au volant…