Du beau boulot. Pour le CV du monsieur, c’est par ici: http://en.wikipedia.org/wiki/Martyn_Ashton. Et ouf, c’est un biker à la base…
Mais bon, ça ne marche pas à tous les coups non plus… Suite dans le poste complet.
Un type à vélo. Parfois cycliste aussi.
Des coins à découvrir, de belles choses à voir, des coups de projecteur sur les événements sympa…
Du beau boulot. Pour le CV du monsieur, c’est par ici: http://en.wikipedia.org/wiki/Martyn_Ashton. Et ouf, c’est un biker à la base…
Mais bon, ça ne marche pas à tous les coups non plus… Suite dans le poste complet.
Avec le documentaire « Bike for bread » Claude Marthaler souhaite exprimer son regard de cyclonaute passionné et tente de décrire avec poésie le destin de ces insolites livreurs de pain qui nourrissent chaque jour le Caire, une métropole de plus de 18 millions d’habitants.
Avec Raphaël Jochaud, il se rendra au Caire du 9 au 22 décembre 2012 pour tourner ce documentaire. Le montage sera réalisé au printemps 2013 par Roman Droux.
« Tout a commencé le jour où j’ai découvert les Bahia Alaheich dans le furieux trafic du Caire, d’insolites livreurs de pain à vélo« , explique Claude Marthaler. « Ils surgissent comme des étoiles filantes, remontent en sens interdit les interminables files de voitures, glissent entre deux rangées de chaises d’un café puis disparaissent dans un bazar, tenant sur leur tête plusieurs centaines de pain Baladi, parfois l’équivalent de 50 kilos! »
Une page internet permet à chacun de soutenir ce beau projet selon ses moyens et ses envies. L’objectif est de réunir 3’000 Euros et alors qu’il reste encore 52 jours (en ce 2 octobre), plus des 2/3 du montant espéré ont déjà été récoltés.

Cette année, j’ai décidé de ne plus courir… donc je me suis pour l’instant limité à trois épreuves: la manche du netplus challenge de Fully parce que c’était sur mon parcours d’entraînement fétiche, l’Eiger Bike Challenge parce que Thomas Bingelli nous y a invités avec mon épouse, et le Grand Raid parce que euh, euh, par habitude peut-être. Non, plus sérieusement parce que nous allons courir sous les couleurs de l’Hôpital du Valais — CRR avec deux collègues.
Le choix du vélo a été vite fait puisque je n’ai plus qu’un seul bike dans ma cave. Après avoir découvert le 29’’ avec le Merida semi-rigide alu l’an dernier grâce à la générosité de Merida par Alfred Comte et de Dom Cycle, j’ai décidé de ne plus mendier de vélo en 2012. Comme j’avais prévu de ne plus courir, il devenait difficile d’offrir une contrepartie au sponsor, même après quatorze ans de fidélité.
Le vélo est un sport assez simple. Quelques tas de terre, une rampe en bois et voilà de quoi s’amuser dans son jardin. Surtout si l’on s’appelle Andreu Lacondeguy et que l’on a ce petit grain qui nous plaît bien. Me ferait presque aimer le motocross ce gars…
Vous aimez le vélo, les belles images, vous disposez d’un iPad et êtes disposé à payer (un peu) pour ce travail? L’application The Collarbone (la clavicule) vaut le détour, surtout qu’elle est livrée avec quelques galeries de démonstration. Ensuite les reportages s’achètent au prix de 1.- soit le quart du prix d’un café dans nos contrées helvétiques.
Nommée d’après l’os de l’épaule que tout cycliste craint de se casser lors d’une chute, The Collarbone entend surtout rendre compte de la vie quotidienne du peloton, parfois dramatique, parfois drôle, souvent difficile.
Surtout dans les rues de Manizales, au pied du Nevado del Ruiz. Ceci dit, je ne sais pas pourquoi l’on s’excite au sujet d’une possible interdiction des VTT sur les sentiers du canton de Berne alors que l’on peut très bien s’amuser avec un vélo en ville. Non?
Une vidéo plutôt sympa. Et hop, une petite envie de rouler, même sous la neige…