On va faire court. Soit le problème suivant: j’ai changé de Mac et j’aimerais retrouver les adresses email utilisées sur mon ancienne machine. J’utilisais Mail, mais pas le carnet d’adresses. Comment faire?
L’application Mail enregistre toutes les adresses mail utilisées. C’est pourquoi le remplissage est automatiques dès que vous tapez le début d’une adresse connue. Cette liste est accessible par le menu Fenêtre > Destinataires précédents.
La liste affichée, choisissez les adresses que vous voulez récupérer et cliquez sur le bouton « Ajouter au carnet d’adresses ». Vous pouvez quitter Mail et ouvrir Carnet d’adresses.
Dans la carnet d’adresses, sélectionnez l’adresse que vous voulez récupérer et exportez-la (Fichier > Exporter > Exporter vCard) sur le bureau, un clé USB, dans une Dropbox… Bref où vous voulez, mais c’est ce fichier que vous allez transférer sur le nouvel ordinateur (avec une clé USB par exemple, ou grâce à votre Dropbox).
Si vous voulez exporter tout votre carnet d’adresses choisissez le menu Fichier > Archivage du carnet d’adresses.
Sur votre nouveau Mac, importez les adresses dans le carnet d’adresses (Fichier > Importer > vCard ou Archivage du carnet d’adresse) et le tour est joué.
L’application Mail ira piocher les adresses directement dans le carnet.
La Suisse serait-elle le tiers-monde des cyclistes? Allez, on exagère à peine. La volonté du gouvernement de réduire le nombre de décès et de blessés sur les routes est certes louable, mais pour le coup on joue un peut petit.
En résumé il ne faut pas engager plus de moyens, mais interdire et punir davantage. C’est particulièrement criant pour les cyclistes. Obligation du casque jusqu’à 14 ans – pas une mauvaise idée – et interdiction pour les enfant de moins de 7 ans de circuler sur une route publique (au moins c’est clair cette fois, cela ne l’a pas toujours été). Comme encouragement à la pratique cycliste, on a vu mieux.
Interdire aux enfant de 7 ans de circuler sur une route publique, je pourrais à la limite y souscrire. Mais si, et seulement si, on leur propose autre chose (parce qu’en passant, j’aurais dans ce cas deux enfants qui seraient passibles d’une amende pour faire du vélo devant la maison, sur une route de campagne). Comme des pistes cyclables pour aller à l’école, au village voisin. Enfin bref, un vrai réseau de circulation à l’écart du trafic automobile. Et pas quelques bidons de peinture jaune sur nos routes principales pour désigner des bandes cyclables qui donnent bonne conscience mais qui s’interrompent là où elles seraient le plus utile, comme dans les carrefours.
Alors oui, penser et construire un vrai réseau cyclable, cela coûte de l’argent. Pour sauver Swissair et la banques, il y en a toujours assez. Mais pour développer et encourager une mobilité respectueuse de l’environnement, il n’y en a plus. Comment font-ils au Danemark. Même en rase campagne, les voies de circulation sont séparées. Ce qui est possible là-bas ne l’est-il pas ici? Mais c’est peut-être la différence entre un pays développé et un autre en voie de développement. Enfin, même pas.
Souvenez-vous, en 1998 Apple est à l’agonie. Mais Steve Jobs est de retour aux commandes depuis queques temps et la Pomme lance le premier iMac. Tout le monde se marre. Un ordinateur qui ressemble à un jouet. Et qui n’a même pas de lecteur de disquette. Le spécialistes crient à la folie. Quelques mois plus tôt, Michael Dell, patron de la firme éponyme, conseillait même à Apple de fermer boutique et de rendre l’argent aux actionnaires. Aujourd’hui, Apple vaut sept fois Dell.
Souvenez-vous encore. En 2001, Apple présente le premier iPod. Ce n’est pas le premier lecteur de mp3. Il ne permet même pas d’écouter la radio. Les «geeks» crient à nouveau à la folie. Aujourd’hui, iPod est presque devenu un terme générique pour dire «lecteur de musique».
Puis on a encore vu arriver l’iPhone. Encore un objet qui ne faisait rien de nouveau. Téléphoner, surfer sur le net, consulter ses mails, écouter de la musique, tout cela était déjà possible avec les téléphones mobiles existants. Mais qui surfait vraiment sur le net avec son téléphone?
La force de la marque à la pomme est d’avoir su rendre la technologie accessible, de la rendre totalement intuitive et transparente. Observez un enfant de quatre ans qui s’empare de l’iPhone de ses parents – je sais de quoi je parle. Il ne sait pas lire, mais est tout à fait à l’aise pour lancer un jeu ou faire défiler des images.
Et ce fameux iPad alors? Comme toutes les autres créations Apple, il lui manque plein de choses: pas de port USB, pas de caméra, il ne lit pas les animations Flash, il est plus gros qu’un iPod et moins puissant qu’un ordinateur, sa mémoire est trop faible. Et bien tant mieux. Parce que ce n’est pas ce qui manque qui le fait fonctionner, mais tout le reste.
Personnellement, depuis que je dispose d’un iPhone, je me sers beaucoup moins de mes ordinateurs, un Mac Mini et un vieux Powerbook G4. Le Mac Mini est installé dans un coin de la maison, à l’écart de la tribu. Pratique pour bosser, mais pour juste consulter et répondre à quelques mails depuis le salon en surveillant du coin de l’œil les jeux des enfants, c’est pas top. L’iPhone, c’est mieux. Mais tout de même un peu petit parfois.
Rien que pour cela, je risque d’adorer l’iPad. Pour surfer sur le net et consulter mes sites et journaux favoris depuis le fauteuil du salon (moins cher que celui de Steve Jobs durant la présentation de la tablette), je ne vois pas mieux. Si en plus elle me sert d’agenda, de cadre photo transportable, de lecteur vidéo et de livre électronique, moi, ça me va. Pour les autres usages, je fais confiance aux développeurs. Qui aurait pu prédire ce qu’allait devenir l’iPhone à sa sortie?
Et là, je me dis que j’ai vraiment bien fait d’offrir une Wii à mes enfants. Il laisseront l’iPad tranquille au-moins pendant… la première demi-heure. On parie?
MàJ – L’iPad est disponible en précommande en Suisse, dès 699 francs.
C’est pas que je n’aime pas la neige, non. J’adore la neige, mais avec les outils appropriés: ski de piste, de freeride, de rando, de fond, snowboard, luge, bob… peu importe, je m’amuserai comme un fou. Même en VTT, tiens, depuis l’invention des freins à disque (le frein sur jante dans la neige, je ne sais pas si vous avez essayé un jour, mais normalement vous vous êtes fait très peur).
Alors quoi? Alors il se trouve qu’il a neigé depuis plus de deux semaines (et encore, neigeotté) et qu’il fait beau depuis. Les routes sont bien dégagées, les trottoirs aussi, les pistes cyclables, par contre, c’est souvent la cata. Comme sur la photo ci-dessus, entre Sierre et Bramois, sur les berges du Rhône, interdites au trafic motorisé. Plaques de neige succèdent au goudron et à la glace vive. Bon pour l’équilibre, mais on se fait tout de même un peu peur.
Quelques jours plus tôt, je circulais à Martigny (photos ci-dessous). Je passe sur la piste cyclable qui rétrécit vers le passage piéton, puis disparaît à l’entrée du giratoire suivant (c’est bien connu, les cyclistes disparaissent aussi à l’entrée des giratoires). Mais si on pouvait juste éviter de m’obliger à rouler dans un flaque ou de foncer dans un tas de neige, je dirais merci. Là, c’est un autre mot, qui commence aussi par m qui me vient à l’esprit.
L’hiver bat son plein dans les Portes du Soleil mais on pense aussi au Mountain Bike dont la saison 2010 sera ouverte par l’événement traditionnel du domaine : la Pass’Portes du Soleil MTB. Les inscriptions ouvrent le le 10 février 2010 sur le site de l’événement www.passportesdusoleil.com et les amateurs vont devoir se dépêcher. Le nombre de places est limité à 4000 personnes réparties sur les 9 stations de départ pour des questions de sécurité et de fluidité du parcours. En 2009, l’affluence était telle que plus de 800 cyclistes se sont inscrits le premier jour.
La randonnée VTT autour du domaine a acquis ses lettres de noblesses dans le monde du vélo de montagne et pas moins de 4000 vététistes du monde entier (25 pays différents étaient représentés en 2009) sont attendus pour deux jours de ride et de fête. La recette de cet événement : 75 km de Mountain Bike, 15 remontées mécaniques, un tracé à profil descendant (6000m- /1000m+), 8 ravitaillements qui font la part belle aux spécialités locales et à la gourmandise (raclette, diot, barbecue, fondue au chocolat…) et des paysages à couper le souffle, entre France et Suisse.
Des photos comme des tableaux promet la pub… J’ai voulu tester. L’idée est assez sympa. Plutôt que de commander de simples tirages de vos images, vous pouvez aujourd’hui les acheter imprimées sur de la toile, tendues sur un vrai cadre en bois.
Plusieurs fournisseurs proposent ces toiles à leur catalogue. De mon côté j’ai voulu profiter d’un rabais obtenu chez fotopost24.de à l’occasion d’un achat de logiciel à la fin de l’année dernière.
Autant le dire tout de suite, j’ai été légèrement déçu. Pas par le tirage lui-même, l’effet de la toile sur cadre, avec son relief, est vraiment excellent. Le montage sur le cadre, par contre, laisse quelque peu à désirer. Aucune marge n’a été prise pour le tirage, ce qui fait qu’une bonne partie de l’image se trouve sur… la tranche du cadre.
Pour la visibilité on a vu mieux et c’est frustrant lorsque l’on a soigné son cadrage. Ce n’est peut-être pas toujours un grand problème, mais pour cet essai, j’avais choisi un image qui supporte mal le recadrage par le bas.
Pour un prix de 50€ (tirage de 20×30 cm), frais d’envois compris, je m’attendais à mieux. Heureusement, avec mon rabais, je n’ai payé que 25 francs suisses (environ 17€). Mais tout de même.
Ces temps, je fais dans le minimalisme… Après TeuxDeux, gestionnaire de tâches des plus dépouillés, voici AboutTime. Il s’agit d’une horloge pour votre iPhone. « Encore », me direz-vous. Et vous aurez raison. Sauf que Abouttime ne donne pas l’heure, et c’est ce qui fait tout son charme.
Le moment de la journée (mise à jour toutes les cinq minutes environ) est décliné sous la forme d’un texte très élégant et… approximatif. « Il est à peu près quatre heures » vous dira la fenêtre, en anglais malheureusement. Je trouve ça très classe. Sobre et calme.
D’une petite caresse sur l’écran, l’application affiche une citation, en général sur le thème du temps qui passe. Ça calme aussi.
Vous trouverez AboutTime sur l’Appstore. Il vous en coûtera 1.10.- CHF. Ça calme aussi, mais pas trop.
Un des premiers posts de ce blog était consacré aux indispensables sauvegardes. Il était inspiré par le crash du disque dur de mon Powerbook G4 acheté en juin 2005.
J’ai ainsi pu tester l’efficacité de Time machine pour restaurer système et données sur un nouvel ordinateur, un Mac Mini.
Le PowerBook a continué de fonctionner depuis un sytème installé sur un disque dur externe.
Ce week-end j’ai voulu tenter de remplacer le DD interne du PowerBook. J’avais un disque Iomedia de 100 Go avec une connectique USB. Son démontage m’a confirmé sa compatibilité avec mon portable que j’ai donc ouvert en suivant un précieux pas à pas de iFixit. Coût de l’opération: 12.50 CHF pour le jeu de tournevis trouvé chez Interdiscount (Suisse). Plus le disque externe mais comme il traînait déjà dans un coin, je l’oublie.
Au final j’ai un ordi presque tout neuf qui fonctionne à merveille comme borne Internet (web, mail, facebook, YouTube) dans un coin du salon.
Avec Time Machine sur Mac, il est facile d’avoir des sauvegardes de tout son système automatiquement.
Souvent, on aimerait pouvoir accéder à un ou plusieurs fichiers depuis un autre ordinateur; que ce soit au travail ou en route.
Il existe ainsi Dropbox qui est une service qui permet de stocker en ligne, de synchroniser et de partager vos fichiers instantanément. Lorsque vous chargez un fichier sur Dropbox il se synchronisera automatiquement avec tous vos postes de travail.
On parle de « cloud backup » ou sauvegarde sur le nuage.
L’intéret réside surtout dans sa simplicité d’utilisation. Pas besoin de trafiquer dans un programme ou de perdre du temps à chercher les dossiers à synchroniser. Dropbox apparaît dans votre barre d’outils et travaille en tâche de fond sans que vous ne fassiez rien.
2. Vous installez l’application sur votre ordinateur et à ce moment là, l’application crée un dossier « Dropbox ». Ce dossier, vous pouvez le mettre où vous voulez sur votre ordinateur, de préférence toutefois quelque part dans votre dossier personnel. Ensuite, vous y glissez les dossiers ou fichiers que vous voulez stocker en ligne, et le tour est joué.
3.Vous vous connectez sur dropbox.com, vous vous loggez en haut à droite et hop vous admirez le travail. La synchro est ultrarapide et réactive. Essayez de mettre un fichier dans le dossier Dropbox sur votre ordinateur et jetez un coup d’oeil ensuite sur dropbox.com, le fichier est déjà là!
4.Sur l’interface en ligne dropbox.com vous pouvez choisir de partager certains dossiers. On peut imaginer cette option très pratique pour une association qui partage plein de fichiers. Cela permet d’avoir toujours une version à jour.
5.Il y a une application Iphone qui vous permet d’accéder à tous vos fichiers Dropbox, partout, tout le temps, y compris la musique que vous pouvez écouter et les images! On peut ainsi avoir accès aux fichiers et les renvoyer dans un mail avec son Iphone.
Vous allez me dire: « Mais la sécurité alors? »; Dropbox crypte les données avec un clé de chiffrement avancée et envoie les données ensuite avec un standard SSL. Vous avez pas compris? Pas grave, en gros, c’est une solution vraiment sûre.
Mais le système est tellement intuitif qu’il vous suffit d’essayer. Gratuitement vous avez 2Go de stockage gratuit et 50Go coûtent 9$ par mois si vous voulez aussi avoir toute votre musique avec vous et toute une galerie Iphoto comme vous avez si bien appris à réaliser avec la Macademy.