…mais l’endroit n’est pas interdit aux vélos pour autant.
La rive droite des berges du Rhône serait interdite aux vélos à la hauteur de la transversale d’Hérens… C’est l’étrange histoire que l’on m’a rapportée après qu’une promeneuse a indiqué ce fait à une cycliste de la région. «Oui, oui, il y a un panneau d’interdiction aux vélos accroché sur le pont», aurait-elle dit en substance à la cycliste à qui cet indicateur avait échappé. Et pour cause verrons-nous plus loin.
Je ne voyais pas de raison pour interdire ce chemin non goudronné aux vélos, et encore moins depuis cet endroit, quelques centaines de mètres après la passerelle de Vissigen en remontant le Rhône, sur sa rive droite donc. Comme je ne recule devant aucun sacrifice pour vous tenir informés, j’ai rallongé mon parcours matinal de quelques minutes pour en avoir le cœur net.
Il y a effectivement un panneau accroché au pont. Très haut, trop haut pour qu’il soit destiné aux usagers bien plus bas. Et il ne s’agit pas d’un panneau d’interdiction, car bleu et non blanc cerclé de rouge. Il s’agit d’un panneau de fin de piste cyclable. Apparemment celui qui signalait la fin de la bande (et pas la piste, car il ne s’agissait que de peinture jaune comme trop souvent en Valais) cyclable sur le pont de la transversale d’Hérens, enjambant route cantonale et Rhône.
On a donc un panneau pas trop bien rangé et une piétonne pas trop au fait des règles de la circulation routière (mais peut-on le lui reprocher vu qu’aucun permis n’est demandé aux piétons, encore heureux)?
Une seule solution pour la paix des ménages: mieux ranger le panneau, ou le cacher, pour éviter d’inutiles confrontations.
Encore une foi Joakim, aller au bout des choses est nécessaire pour clarifier certains malentendus. Vous le faites avec tact et cela vous honore! Merci! et vive le vélo….et les cyclistes!
Merci Fabienne pour vos encouragements 😉