Strava, oui, non, oui…

Note to self…

Strava retrouve pas mal d’intérêt à mes yeux:

  • Export possible de toutes les activités au format GPX
  • Collage somme toute assez simple dans Numbers depuis la liste des activités, même la durée est reconnue et “additionnable” (plus facilement d’ailleurs que les kilomètres et les dénivelés qu’il faut nettoyer des km et m pour pouvoir les additionner).

  • Dans excel c’est toujours le bordel avec les durées.

  • Numbers toujours, ouvre très bien les fichiers de Runkeeper mais en dessous d’une durée d’une heure pour les activités, le format est différent et c’est le chenit pour additionner. Sinon preview ouvre très bien, mais pas excel sur mac. Un comble.

  • Gestion du matériel avec suivi des temps et distances d’utilisation de chaque vélo. Bien pour les services.

  • Essai sur PC au bureau, les formasts csv ne sont pas vraiment exploitables.

Mais:

  • Sur mac, très facile de copier-coller directement les tableaux de données dans Numbers.
  • Là, les données de Garmin sont beaucoup plus complètes, avec la possibilité de choisir les colonnes.

  • Le copier-coller des Garmin Connect est plus facilement exploitable car il ne contient pas les unités (km, km/h, etc.) qu’il faut supprimer à la main dans le “collage” depuis Strava, qui par ailleur contient moins de données (colonnes).

  • Runkeeper et son interface ne me plaisent pas. J’aime bien avoir mes activités listées sous forme de tableau. Lui, je vais laisser tomber.

  • Les avantages de Garmin

    • Le copier-coller des Garmin Connect est plus facilement exploitable car il ne contient pas les unités (km, km/h, etc.) qu’il faut supprimer à la main dans le “collage” depuis Strava, qui par ailleur contient moins de données (colonnes).

    Les inconvénients

    • Pas de gestion du matériel
    • Aspect social présent mais moins développé. Si Strava est le Facebook des cyclistes, Garmin est un peu désert dans ses fonctions de partage et de commentaire.

    Lire aussi

    Strava: tout est dans la mesure Once upon a time the point was to have as much fun on the trail at hand as possible. Now, for many, it’s just a matter of getting from Point A to Point B as quickly as possible without letting the GPS catch you cheating. Every ride is a race. L’article en entier est sur Bikeradar