Lecture: Quand le vélo déraille

« Quand le vélo déraille… » En plein Tour de France où les querelles entre scientifiques et « pseudo-scientifiques » (désignés comme tels par les … lire la suite

Privateer, c’est fini

Trois ans après son lancement, le magazine britannique consacré au mountain bike « Privateer » va cesser de paraître. La 18e édition, dont … lire la suite

Un peu de lecture – de Velo Vert à Privateer

Une inflammation au genou, un rhume carabiné par dessus… C’est l’hiver. Et l’occasion de lire les magazines qui s’empilent. Le dernier Vélo Vert par exemple, une bonne découverte dans sa nouvelle formule qui mêle papier glacé pour les news, les tests et autres actualités, et papier mat pour les interviews. Très classe.

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Très classe mais pas encore autant que ce magazine anglais, « Privateer » qui lui est vraiment très, très classe. Evidemment, mieux vaut lire l’anglais, mais le contenu en vaut la peine et la mise en page est vraiment soignée. Dix-neuf pages par exemple pour l’interview de Hans Rey – la légende du VTT que les moins de vingt ans ne connaissent pas – dans le dernier numéro. Une édition qui se permet d’afficher… un poisson mort en couverture.

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Cette treizième édition de Privateer ne déroge pas à a règle: des « histoires », des  vraies sur le VTT, pas de nouveaux produit, pas de tests de matériel… Mais des chroniques, dont celle de Charlie Kelly, le pionnier du Mountain Bike, des tranches (des grosses) de vie, des images bien mises en valeur. Bref un plaisir à toucher, regarder, lire et feuilleter.

Et un sous-titre qui résume le tout: « Mountain Bike Syndrome ».

Vélo Romand Magazine: dites 33!

Un poil d’autopromotion pour annoncer que le numéro 33 du magazine Vélo Romand et arrivé chez les abonnés, mais aussi dans les kiosques. Autopromotion vu que j’en suis le rédenchef depuis ce numéro. Remarques et suggestions bienvenues. Bonne lecture!

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The Collarbone: une clavicule pour une pétée de belles photos

Vous aimez le vélo, les belles images, vous disposez d’un iPad et êtes disposé à payer (un peu) pour ce travail? L’application The Collarbone (la clavicule) vaut le détour, surtout qu’elle est livrée avec quelques galeries de démonstration. Ensuite les reportages s’achètent au prix de 1.- soit le quart du prix d’un café dans nos contrées helvétiques.

Nommée d’après l’os de l’épaule que tout cycliste craint de se casser lors d’une chute, The Collarbone entend surtout rendre compte de la vie quotidienne du peloton, parfois dramatique, parfois drôle, souvent difficile.

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