Il existe dans le monde Mac des applications bien pratiques. A l’usage, on se rend parfois compte en utilisant un autre ordinateur que le sien que ces applications sont devenues inévitables, voire indispensable.
Trève de théorie, lançons nous à la découverte de LaunchBar.
LaunchBar est un utilitaire de productivité disponible en permanence, à deux clics de clavier.
Dans le monde informatique, il existe moult raccourcis à faire avec le clavier et ce souvent dans chaque application.
Ce que j’aime dans le couple iPhone – iTunes, c’est la possibilité de s’abonner aux podcasts et d’écouter les émissions de mon choix quand bon me semble. Médialogues de la RSR, Point Barre de Couleur 3 et, pour un peu d’humour, la Revue de presque de Nicolas Canteloup.
Une tape sur l’écran fait apparaître les options. Dont celle de doubler la vitesse de lecture. je l’avais activée sans le savoir. Grr.
Tout allait très bien, jusqu’à ce que mon iPhone s’emballe. Une manipulation involontaire et inconnue (un peu comme quand votre clavier passe soudain à la version américaine) et voilà que tout était débité au double de la vitesse. Je me suis dit que le téléphone avait pris un coup, de l’humidité… Mais bizarrement, la musique jouait à la bonne vitesse et les podcasts sur l’ordinateur aussi.
Une recherche sur Google plus tard et j’avais la réponse… Depuis la version 3.0 du système d’exploitation, une petite tape sur l’écran lors de la lecteur de podcast affiche quelques options. On peut faire défiler le podcast avec la barre bleue, l’envoyer par mail, revenir en arrière de 30 secondes et, et… accélérer ou ralentir la lecture. Tout con, pas forcément utile, mais il fallait le savoir. Maintenant, je le sais, et les gens causent à la bonne vitesse dans le poste.
On parle on parle, mais comment faire « en vrai » pour sauvegarder tout son disque dur interne sur un disque dur externe?
Première opération: télécharger le logiciel sur le site de l'auteur: http://www.bombich.com/
Les bienheureux, qui sont sous Mac OS X 10.5 et plus, bénéficient de Time Machine. Mais pour une sécurité encore accrue, lire la suite ne leur sera pas inutile. Car pour les autres, sous 10.4, aka Tiger, la solution de sauvegarde la plus simple reste le clone pur et simple du disque dur.
Attention, la copie conforme est en principe… vraiment conforme. Un fichier supprimé de votre disque dur, ne se retrouvera pas par miracle sur le clone. C’est assez simple à comprendre et le mieux c’est de le comprendre ainsi, même s’il y a moyen de feinter un peu. On verra cela plus loin.
Première opération pour cloner votre disque: télécharger le logiciel Carbon Copy Cloner (CCC) sur le site de l’auteur. Le programme est gratuit, mais s’il vous rend service, l’auteur accepte volontiers les dons. Dans le même registre, mais payant, on trouve Super Duper (environ 30 francs suisses).
Ensuite, on installe le logiciel téléchargé, ce qui se fait très simplement, en le glissant dans le répertoire des applications. Lancer le programme et choisir la source de la copie (votre disque dur principal) et la destination (votre disque dur externe).
Depuis l'image disque téléchargée, glissez simplement l'icône dans votre répertoire d'applications.
Afin d’accélérer les clonages suivants (le premier est toujours assez long, en fonction du volume de vos données), choisissez « Sauvegarde incrémentale des éléments sélectionnés ». Le premier clonage sera complet, mais pour les suivants CCC ne copiera que les fichiers modifiés.
Le Roc d’Azur, c’est un peu la fête de fin de saison pour les vététistes. Une dernière occasion de rouler au soleil, en bord de mer, dans les collines autour de Fréjus. Mais c’est aussi une compétition redoutable, où chacun se plaît à briller une dernière fois, ou pour signer les derniers contrats en vue de la saison suivant.
Marielle Saner-Guinchard en route pour la victoire. DR
C’est aussi un parcours très difficile, loin des montées interminables du Grand Raid Cristalp. Une succession d’ascensions très brèves – et donc forcément intenses – suivies de descentes techniques et difficiles sur un terrain souvent sec, mais raviné par les pluies.
Sur le Roc Marathon, nos spécialistes cantonales ont pu exprimer tour leur talent. Marielle Saner-Guinchard a ainsi imposé sa loi sur les 83 kilomètres du parcours. Longtemps en tête, l’Allemande Ivonne Kraft a été rejointe par la Bas-Valaisanne, avant d’être victime d’un bris de chaîne, laissant la voie libre à Marielle. Ivonne Kraft finit tout de même deuxième. La troisième marche du podium est revenue à la Fulliéraine d’adoption, Myriam Saugy. Pour la petite histoire, les deux valaisannes finissent devant la multiple championne du monde de Mountain bike, la Norvégienne Gunn-Rita Dahle-Flesjaa.
Chez les hommes, c’est le Belge Roel Paulissen qui s’impose à nouveau. Du côté des Suisses on relèvera la 4e place de Lukas Buchli, la 10e de Christoph Sauser, la 11e de Nicolas Lühti et la 12e du Valaisan Alexandre Moos.
Suite de mes (més)aventure avec mon Powerbook dont le disque dur interne a rendu l’âme. Je vous passe les détails sur l’achat du Mac Mini (j’ai préféré le revendeur local à l’Applestore en ligne, mais je ne suis pas sûr d’avoir bien fait…) pour me concentrer sur la suite. Déballage, installation. Zut, la machine est encore sous Mac OS X 10.5, aka Leopard. Sur l’Applestore elle est déjà en 10.6, aka Snow Leopard. Pas grave, ça me permettra de tester la mise à jour…
Démarrage, tout fonctionne. Normal. Vient ensuite la récupération de mes données depuis le disque de sauvegarde grâce à Time Machine. Ça prend un peu de temps, mais fonctionne à merveille. J’avais déjà testé la récupération d’un fichier ou l’autre. Mais tout un système, jamais. Ça marche tout aussi bien, via un assistant qui permet de sélectionner ce que l’on veut transférer (données seulement, applications, compte utilisateur complet…)
Durant la Foire du Valais, circuler en voiture n’est pas forcément la meilleure idée. J’ai donc préféré enfourcher ma bicyclette pour la petite demi-heure entre mon domicile et mon bureau temporaire à Martigny, au cœur de la fête. Certains diront que, passé un certain nombre de ballons de blanc, le vélo n’est pas forcément une bonne idée non plus. Je suis d’accord, mais je ne mets au-moins en danger que moi- même.
Une belle piste cyclable, bien éloignée du trafic automobile.
C’est d’autant plus vrai lorsqu’il nous est offert de circuler sur une piste cyclable grand luxe, totalement séparée du reste du trafic (il y a même un canal entre la route et la piste cyclable), comme entre Branson et Martigny. Dommage que cela se gâte dès que l’on entre en ville. Dommage aussi que certains panneaux ridicules rappellent aux cyclistes que les automobiles sont encore une priorité dans certains esprits.
Pour le reste, bravo pour ces quelques centaines de mètres entièrement réserves aux deux-roues. Pour peu, je me serais presque cru en Suède ou au Danemark 😉
Après quatre ans de bons et loyaux services, le disque dur de mon portable Powerbook G4 a brutalement cessé de fonctionner. Pas de souci, j’ai mes sauvegardes (Time Machine pour le contenu du portable – Chronosync pour les données que je transporte sur des disques durs externes, ainsi qu’un disque dur Iomega Ultramax configuré en RAID I pour toutes mes archives).
Je résume:
Disque dur du portable -> Time machine sur un disque dur externe.
Données sur disques durs externes (comme ma bibliothèque iTunes, pour pouvoir l’utiliser aussi au bureau) -> Synchronisation sur un disque dur externe grâce à Chronosync, léger, rapide et souple.
Données (images, films, documents) archivées sur un disque RAID I, c’est à dire un boîtier qui contient deux disque durs où les même données sont écrites simultanément sur les deux disques. Si l’un des deux lâche, il n’y a qu’à le remplacer et reconstruire le miroir.
La saisons des courses touche à sa fin. L’automne est là, avec ses belles couleurs, son air plus fin et moins chaud que la fournaise estivale. La moindre sortie est un vrai plaisir… C’est aussi le moment où on se détourne un peu de ses bécanes pour rêver aux prochaines. Et là, je ne sais pourquoi, j’ai commencé à autant regarder les vélos « de ville » que les VTT ou les machine de route.
Le Kilo, assez costaud pour les caisses de bière ou de vin…
C’est que les vélos urbains du jour n’ont plus grand-chose à voir avec l’idée que je m’en faisais. Enfin, certains vélos urbains, que l’on trouve ailleurs que dans nos grandes surfaces. Et comme mes origines scandinaves me font facilement tourner la tête au Nord, les vélos danois Viva attirent irrésistiblement mon regard… Merci au site Weelz pour la découverte.
Viva est une entreprise fondée par Lars Andersen, qui dessine encore les vélos avec le designer Henrik Norby. Un savant mélange de classicisme, d’innovations – ou plutôt de remise au goût du jour de techniques anciennes comme la transmission à cardan – et de technique. Personnellement, j’ai un petit faible pour le Kilo. Un double porte-bagages pour deux cartons de bouteilles, un look délicieusement rétro mêlé d’efficacité…
Après, avec ce genre de bécane, on ne peut pas non plus coiffer son casque rouge pétant que l’on enfile pour les compètes de VTT ou sur route, non?
Yakkay, casquées mais stylées…
Heureusement, les scandinaves de Viva ont ce qu’il faut. Mais je préfère encore les couvre-chefs de Yakkay. Tiens, encore des Danois. Une coque sur laquelle on peut ajuster différentes coiffes, selon qu’on est un homme ou une femme, selon l’humeur du jour peut-être aussi. Ou selon le vélo…