C’était un peu l’info de la semaine dernière et elle a fait du bruit dans le « milieu » comme on dit. Strava, cette application qui enregistre vos sorties, compare vos parcours avec ceux d’autres sportifs et établit un classement, a décidé de faire payer ce qui a fait son succès: la consultation des classements sur ses « segments », entre autres. Seul l’enregistrement des activités et la consultation des 10 premiers sur les segments restent gratuits. Il fallait tout de même s’y attendre, depuis le temps que l’entreprise semblait chercher un moyen de gagner de l’argent avec ses plus de 50 millions abonnés.
Le problème des sites qui hébergent vos données d’entraînement en ligne consiste le plus souvent dans leur format propriétaire. Une fois vos nombreuses données téléchargées sur Garmin Connect, Endomondo, RunKeeper, Strava ou d’autres encore, difficile de les exporter en vrac pour les exploiter ailleurs, dans un tableur comme Excel par exemple. Le seul qui le fait plutôt bien d’après moi est Runkeeper, comme je l’ai évoqué dans un précédent billet. Le problème étant alors l’importation depuis un appareil Garmin, l’Edge 500 dans mon cas. Curieusement, ce que les autres savent faire, Runkeeper ne le sait pas et le problème dure depuis plusieurs mois. Il a été signalé par de nombreux utilisateurs, sans amélioration notable.
Heureusement, d’autres sont plus malins et je suis tombé, au gré d’une énième recherche sur Garmin Sync. Un service assez génial qui vous permet de transférer automatiquement vos données de Garmin Connect à RunKeeper ou Strava, voire même les deux à la fois.
De Garmin Connect à Strava, en passant par Runkeeper, Endomondo ou Training Peaks, petit tour d’horizon subjectif de différents services en ligne pour stocker, analyser, exploiter et partager vos données d’entraînement.
J’utilise un GPS Garmin Edge 500 pour enregistrer les données de mes sorties d’entraînement. Parfois aussi mon iPhone pour des activités autres que du vélo, comme le ski de fond par exemple. Le principal avantage d’un GPS par rapport à un compteur traditionnel réside à mon avis dans la souplesse d’utilisation. Passer d’un vélo à un autre se fait sans souci de calibrage du diamètre des roues, son montage ne nécessite aucun câble ni capteur supplémentaire pour les fonctions de base (distance, durée, dénivelé, vitesse moyenne, fréquence cardiaque…)
De retour à la maison, le transfert sur l’ordinateur, ou plutôt sur le web en l’occurrence (pour être indépendant de la plateforme, Mac ou PC) permet d’afficher une belle carte de votre sortie, d’analyser vos données et de les partager avec le monde entier si vous le souhaitez. Le seul hic: une fois vos données téléchargées vers le service de votre choix vous êtes assez fortement lié à votre prestataire. Tous permettent d’exporter facilement vos fichiers un à un, au format TCX ou GPX. Mais lorsque vous avez trois ans de sorties, à raison de 150 activités par année, l’export manuel peut être un peu long… L’absence d’export “en vrac”, sous forme d’un fichier csv, par exemple, est à mon avis rédhibitoire.
J’avais ainsi dit que Strava ne passerait plus par moi, notamment parce que chaque sortie d’entraînement se transformait en compétition. Mais aussi parce qu’il est difficile d’en extraire des données en série plutôt qu’un fichier après l’autre. Une particularité malheureusement partagée par passablement de services en ligne. J’ai de la peine à confier mes données à un site que je ne pourrai pas quitter facilement lorsque je le veux. Pour faire bref, un service qui enferme mes données et moi avec, je n’y vais pas.
Garmin Connect: import facile, export perfectible
C’est aussi vrai pour Garmin Connect, le service du géant du GPS, vers lequel je me suis tourné assez naturellement, étant l’heureux propriétaire de l’excellent Edge 500. La fonction d’export de fichier csv fonctionne enfin, aussi en français. Mais uniquement sur 20 fichiers à la fois, pas idéal si vous avez plusieurs années d’activités à exporter. Pour mémoire, le fichier csv peut être exploité facilement dans n’importe quel tableur.
Avec Garmin Connect, outre la limitation à 20 fichiers, un bête paramètre complique encore le tout: le format de la date d’activité. Cette date est indiquée sous la forme “dim, 2013 janvier 06”. Il ne s’agit certes que d’un problème lié au format de la date, mais cela complique le traitement immédiat du fichiert. Bon point toutefois pour Garmin: on peut sélectionner son type d’activité et/ou une plage de dates avant l’exportation.
L’aspect “social” est bien présent avec des possibilités de partager des vos parcours et d’en trouver d’autres. Mais les membres semblent moins “partageurs” que ceux des autres sites. Impossible par exemple de trouver un parcours autour de Båstad, en Suède, où j’ai pu rouler en juillet 2012.
En résumé: rien à dire pour l’importation de données directement depuis le GPS de votre vélo: les activités non présentes en ligne sont importées quasi automatiquement. Mais uniquement depuis un appareil Garmin à ma connaissance. Une application iOS existe aussi (Garmin Fit), mais elle est payante et franchement pas terrible, pour rester poli. Et l’export depuis la plateforme est certes disponible, mais peu pratique et le fichier fourni n’est exploitable qu’après une série de manipulations manuelles.
Runkeeper, séduisant mais (momentanément?) inutilisable avec un Garmin
Runkeeper est un autre service de même genre, assez séduisant dans la forme et dans ses interactions avec de nombreuses applications.
Runkeeper dispose d’une «app» iOS (je parle de ce que je connais) qui est plutôt pas mal, mais l’import de données, même une à une, depuis un Garmin est problématique depuis plusieurs mois. Impossible pour moi de la faire fonctionner ces derniers jours. Le bug est connu, mais sa résolution semble prendre beaucoup de temps. Dommage, car l’export d’un fichier csv est plutôt bien fait, avec la possibilité de sélectionner une plage de dates et un fichier bien structuré à la sortie. Le plus facile du lot à exploiter directement dans un tableur sans trop de manipulations. Le service cultive aussi un aspect social assez important en affichant les activités de vos “amis” et en permettant de trouver facilement des parcours.
En résumé: rien à dire pour l’export des données, mais faute de pouvoir les introduire facilement, il n’y a pas vraiment besoin de les exporter…
Endomondo: trop moche
Endomondo: je n’en veux pas, tellement il est moche. Cet avis n’engage évidemment que moi, mais l’interface web est vraiment rebutante. Peu lisible, bourrée de pubs clignotantes. La version payante permet de désactiver ces publicités, et franchement, je préfère payer que de devoir subir cette vue. Le site semble plein de fonctions et certains y trouveront leur compte. Je m’y intéresserai peut-être de plus près un de ces jours. Sinon, pas d’export de fichier csv possible. A son crédit: un import impeccable des données depuis un Garmin Edge 500. Comme quoi, c’est possible. N’est-ce pas Runkeeper?
Strava: import nickel, export néant
Strava, c’est un peu le petit dernier, turbulent et charmeur. Import indolore des données d’activité depuis un Garmin, belle application iPhone, interface web soignée et aspect social bien développé. Strava fait la différence avec ses “segments”. Le site est capable d’extraire certains tronçons, une montée de col par exemple, de vos données et de les comparer aux mêmes tronçons d’autres utilisateurs du service. Strava établit ainsi un classement des meilleurs temps sur ce même segment en désignant les King et Queen of the mountain, les KOM.
Il est également possible de délimiter manuellement les segments, la sélection automatique étant parfois quelque peu étrange. On pourra ainsi sélectionne son parcours d’entraînement préféré, Strava se charge de l’historique et des comparaisons de séances. Le service est un peu le “Facebook” du vélo et vous serez averti si un utilisateur vous “pique” votre KOM. Il offre aussi la possibilité de trouver facilement des parcours déjà réalisés par d’autres. Sympa lorsque l’on est loin de chez soi.
En résumé: Strava a tout pour lui. Malheureusement, comme certains de ces concurrents, il préfère enfermer les usagers dans son système et ne propose pas d’export simple et, surtout, en série de vos données d’entraînement. Quand est-ce que tous ces gens comprendront que c’est justement cette liberté qui nous donnerait envie de rester chez eux? Pas l’ambiance “prison”.
Training Peaks: pour les sportifs exigeants
Je l’avoue volontiers, j’utilise surtout ces sites pour conserver mes données d’entraînement, afficher les cartes des parcours et, dans une moindre mesure, tenir une petite statistique de mes activités et retrouver quelques marques de référence de temps à autre. Tous ces sites ne sont finalement que de sympathiques gadgets, parfois à même de stimuler quelque peu une motivation défaillante.
Pour les sportifs plus ambitieux qui veulent travailler juste pour progresser, et qui sont prêts à y consacrer le temps nécessaire, mon spécialiste de frère me signale le site Training Peaks. Sous une interface, disons moins avenante que ses concurrents, se cache apparemment une puissance peu commune. Je dis “apparemment” car je n’ai pas encore vraiment testé cette plate-forme et je ne suis pas certain de vouloir y consacrer le temps nécessaire. On relèvera tout de même que l’import depuis mon Garmin s’est fait comme une fleur. L’export d’un fichier csv est bien disponible. À condition de disposer d’un compte payant (environ 20$ par mois). Comme je ne recule devant aucun sacrifice, j’ai pris cette option pour tester l’export. Il fonctionne, mais les champs sont vraiment très nombreux et, dans mon cas, celui des dates souffrait d’un petit bug. Toutes les dates ne sont pas affichées de manière identique, ce qui rend le tri automatique impossible. Pas top.
En résumé: un produit très complet, destiné aussi bien aux sportifs ambitieux qu’aux entraîneurs, avec des plans d’entraînement, la fixation d’objectifs et des relevés nutritionnels. On peut même y quantifier et qualifier son sommeil! L’interface mériterait un lifting et une ergonomie améliorée, mais le service est efficace, pour autant que l’on y consacre le temps nécessaire.
Au final… think global, act local
Cette longue réflexion “à voix haute” étant achevée, je me dessine une petite procédure toute personnelle: importation des données dans Garmin Connect (peut-être en attendant que Runkeeper veuille bien fonctionner correctement avec mon Edge 500 – son app iPhone étant bien plus aboutie que la Garmin Fit). Éventuellement importation aussi dans Strava, pour l’aspect communautaire et motivant. Mais, surtout, intégration manuelle des principales informations dans un programme de base de données. En l’occurrence, Bentó pour Mac.
Synchronisation parfaite entre Mac, iPad et iPhone, ce dernier pouvant servir pour introduire les données rapidement et facilement. Le tout me sera toujours accessible en local, sans besoin de connexion internet. Et certains parcours resteront secrets…
Vous aimez le vélo, les belles images, vous disposez d’un iPad et êtes disposé à payer (un peu) pour ce travail? L’application The Collarbone (la clavicule) vaut le détour, surtout qu’elle est livrée avec quelques galeries de démonstration. Ensuite les reportages s’achètent au prix de 1.- soit le quart du prix d’un café dans nos contrées helvétiques.
Nommée d’après l’os de l’épaule que tout cycliste craint de se casser lors d’une chute, The Collarbone entend surtout rendre compte de la vie quotidienne du peloton, parfois dramatique, parfois drôle, souvent difficile.
Ainsi donc, Apple a annoncé ce lundi 6 juin 2011 son nouveau service iCloud, un MobileMe qui devrait fonctionner (promesse).
Ce service sera gratuit (Mobile Me coûtait quelque 100.- CHF par an) et fort complet.
Là où Apple frise le code, c’est qu’il y a à peine quelques jours, elle ne se gênait pas de vendre des comptes MobileMe alors que ce service est appelé à disparaître. Depuis ce 6 juin, il est même impossible de créer de nouveaux comptes.
J’ai ainsi reçu une relance le 26 mai pour renouveler mon abonnement. Heureusement, je suis l’actualité d’Apple de suffisamment près pour avoir su que quelque-chose se préparait sur le front de MobileMe – iCloud. Mais combien en font de même? Surtout dans le monde Mac, où justement on ne veut pas se prendre la tête avec l’informatique.
J’ai donc attendu et mon abonnement a été prolongé tout seul, gratuitement, jusqu’en juin 2012.
Mais si j’avais payé mon abonnement ce 26 mai dernier? Hein? Vous auriez pu m’appeler pigeon. Et vous auriez raison.
Je suis en train d’écrire un article consacré aux prochains Championnats du monde de mountain bike, du 29 août au 4 septembre 2011à Champéry, article à paraître en avril dans le magazine Velo Romand. Cela me donne l’occasion de me replonger dans mes archives photographiques des compétitions à Champéry. Et de retrouver des photos assez épiques du four cross en plein orage, comme on le constate sur cette image du talentueux Christophe Margot, qui ne recule devant rien pour ses photos…
Juste un essai de publication avec une vidéo depuis la dernière version de l’application WordPress pour iPad.
Bonne nouvelle, cela a enfin l’air de fonctionner. Jusqu’à présent cette application plantait dès que j’essayais d’envoyer une vidéo. Elle publiait aussi les articles à double, triple, voire quadruple. Là, elle me semble bien utilisable, en lien avec un iPhone pour les photos et vidéos. Ne manque que la possibilité de fixer l’exposition « à la main » en vidéo pour éviter les variations d’exposition lorsque l’on passe d’une zone claire à une plus sombre, et inversément.
Bon eh bien je vais retirer ce que je viens d’écrire… Le post a été republié à double. Impossible d’éditer un billet déjà publié sans créer une nouvelle publication. Pas top.
– Edit du 2 février. J’essaie d’éditer le message avec l’app Blogpress. Cela a l’air de bien marcher. Pour les vidéos, Blogpress les envoie sur votre compte YouTube et les insère dans le post en même temps. Enfin, c’est ce qui est promis. A tester ces prochains jours.
Le cycliste qu manque de jus n’avance plus très vite, mais il avance toujours. Mon appareil photo, un Pentax K200, lui s’arrête tout net lorsqu’il n’a plus ses Volts réglementaires. Normal, je sais. Sauf qu’il a failli me rendre dingue quand-même. Cet appareil fonctionne avec des piles « bâton » normales, ce qui peut être un avantage. Mais au quotidien, cela revient plutôt cher. Je me suis donc rabattu sur des piles rechargeables. Bien, sauf qu’après une vingtaine d’images l’appareil m’indique que les batteries sont vides… Il est prévu pour 4 x 1,5 Volts, alors il ne doit pasmtrop aimer les 4 x 1,2 des batteries rechargeables.
Une recherche sur le net plus tard, je sais que les rechargeables, même les plus récentes qui offrent une grosse capacité (2500 mAh), baissent assez rapidement de tension, vers 1,1 Volts, voire moins. Sauf, paraît-il les Sanyo Eneloop (http://www.eneloop.info) dont la tension resterait stable jusqu’à l’épuisement de la batterie.
Comme je ne risque rien à essayer (c’est ça ou je change d’appareil), je me mets en chasse de ces batteries rechargeable fort prometteuses. J’en trouve sur le net, mais pas chez le vendeur du coin et je suis un peu pressé… Je me souviens alors avoir lu que les batteries rechargeables Apple étaient des Sanyo Eneloop… et il y en a chez le vendeur du coin. Banco, je repars avec un chargeur estampillé de la pomme et six batteries. Le fanboy complet donc, avec mes macs et autres produits Apple.
Résulat? Que du bon. Les accus tiennent facilement la journée, même par basses températures, comme en début d’année à Stockholm. Plus besoin de se trimballer quatre jeux de batteries rechargeables, plus besoin de s’énerver… Et, surtout, j’ai pu garder mon appareil 😉
J’aime le vélo et, quand je dois faire autre chose, comme travailler, j’aime le faire sur un Mac. Un jour, Steve Jobs a dit que les ordinateurs étaient comme les vélos de l’esprit (voir la vidéo à 1’10): comme le vélo permet à l’homme d’avancer plus vite et d’aller plus loin, l’ordinateur permet de le faire pour l’esprit. Merci à Velofun pour avoir dégotté cette vidéo.
De mon côté j’alimentais aussi la « Macademy », un petit blog né de réunions entre amis et de la réponse à apporter aux petites – et grandes – questions que nous pouvons nous poser au quotidien à l’usage de notre Mac. De petites solutions partagées pour le bonheur, je l’espère, des Macadémiciens fulliérains (de Fully, dans le Valais suisse) et plus lointains.
Du coup, avec cette phrase de Steve Jobs, je me suis dit que j’allais fusionner – cela faisait un bout de temps que je songeais à le faire – mes blogs « vélo » et « mac ». C’est pourquoi vous trouverez sur ce site une nouvelle catégorie d’articles sous « Macademy ». Rien à voir pour certains. Beaucoup pour moi…
J’ai parlé du petit gestionnaire de tâches en ligne Teuxdeux dans un précédent billet. Minimaliste, clean, slick comme on dirait en anglais.
Même si Teuxdeux me plaisait beaucoup, je l’ai laissé tomber pour Remember the Milk, après avoir testé Toodledoo. Je crois que c’est l’interface rebutante de ce dernier qui m’a fatigué. Remember the Milk est plus sympa, plus frais, mais je n’ai jamais réussi à m’y faire totalement. L’avantage de ces deux gestionnaires de tâches en ligne: la synchronisation avec un compagnon sur l’iPhone, que l’on a plus facilement sous la main qu’un ordinateur lorsqu’il s’agit de noter un truc à faire en vitesse.
Aujourd’hui, en retournant voir où en était resté Teuxdeux, j’ai découvert son pendant iPhone (3.- CHF), tout aussi dépouillé et efficace que l’interface web. Aussitôt téléchargé, aussitôt adoptée.
Les tâches du jour s’affichent en priorité et les jours de la semaine sont accessibles en bas. Tous comme l’onglet « Someday » pour les tâches sans date d’échéance.
Les tâches se déplacent d’un simple glisser-déposer. Facile et efficace.
Des gestionnaires de tâches, j’en ai testé quelques uns (Things, Omnifocus). Tout va bien tant que l’on rentre des tâches sur une seule machine. Mais je suis souvent loin de mon Mac personnel. Sur un PC, même, au boulot. Et l’application iPhone c’est bien pour dépanner mais pour rentrer des tâches à longueur de journée, c’est tout de même plus simple avec un vrai clavier. Pour cela, les services en ligne sont plus pratiques. Et parmi ces derniers, aujourd’hui, c’est Teuxdeux que je préfère.
Voilà quelques années, j’avais entrepris de référencer mes cassettes vidéo DV avec iDive, le programme d’Aquafadas. Puis j’ai davantage photographié que filmé mes enfants et iDive a vieilli, je n’ai jamais consulté cet index. Jusqu’à ces derniers jours.
Sur le principe, iDive est séduisant: le programme capture une image de votre bande vidéo à intervalles réguliers (que l’on peut ajuster). On a ainsi un aperçu du contenu de sa cassette vidéo, sans la sortir de son armoire. Mots clés et autres favoris permettent de retrouver des scènes particulières et de les recapturer depuis la bande. Voilà pour la théorie.
Premier problème: j’ai changé d’ordinateur et iDive est repassé du coup en mode démo. Impossible de réactiver sans redemander une clé d’enregistrement à l’éditeur. Réponse rapide, mais c’est tout de même pénible. J’ai payé et c’est moi qui suis ennuyé. Deuxième problème, la clé ne fonctionne pas. Il me faut mettre à jour vers la dernière version de iDive 1, qui est depuis passé en version 2. Tant qu’à faire, je paie la mise à jour vers la V2.