C’était un peu l’info de la semaine dernière et elle a fait du bruit dans le « milieu » comme on dit. Strava, cette application qui enregistre vos sorties, compare vos parcours avec ceux d’autres sportifs et établit un classement, a décidé de faire payer ce qui a fait son succès: la consultation des classements sur ses « segments », entre autres. Seul l’enregistrement des activités et la consultation des 10 premiers sur les segments restent gratuits. Il fallait tout de même s’y attendre, depuis le temps que l’entreprise semblait chercher un moyen de gagner de l’argent avec ses plus de 50 millions abonnés.
Culture
Le vélo, son milieu et les connaissances qui vont avec, de la nutrition à l’histoire en passant par la technique et des infos pratiques.
Cols alpins valaisans: la route du col de la Forclaz est remarquable…
Isabelle Bagnoud Loretan dans Le Nouvelliste. «Le col de la Forclaz n’est pas le plus haut des cols valaisans mais il … lire la suite
Schwyz: plusieurs accidents de moto malgré l’appel à rester à la maison
«Un conducteur, âgé de 33 ans, a perdu samedi après-midi le contrôle de sa moto et est entré en collision avec … lire la suite
La baguette de Damoclès…
C’était un mercredi du début du mois de juillet. Une journée ensoleillée et chaude. Splendide. Parfaite pour une sortie «à bloc». J’avais prévu une course le dimanche suivant et je pensais que ce mercredi serait le jour idéal pour tester ma condition du moment. Je me sentais pas mal en forme et je «sentais bien» cette course du dimanche suivant… (Photo de titre – Filip Mishevski sur Unsplash)
Entre ceux qui se trompent de chemin et ceux qui font fausse route…
L’autre matin, je suis tombé sur un automobiliste sur les berges du Rhône, entre Saillon et Leytron, où la circulation motorisées n’est pas davantage autorisée qu’ailleurs en bordure du fleuve. Ce jeune homme du coin (à l’accent), m’a avoué s’être « trompé de route », voulant prendre la voie de l’autre côté du petit canalon qui longe les berges à cet endroit. Mais c’est à quel moment, que tu sais que tu t’es « trompé de route ». Quand tu vois le panneau mais que tu décides de t’en foutre? Sinon, comment peux-tu le savoir plus tard?
Johan Bruyneel: « Doping was inevitable and quite possibly still is »
Je ne suis pas forcément convaincu par sa deuxième affirmation, mais la première a le mérite d’être clairvoyante et honnête: In … lire la suite
L’UCI et les WES officialisent la 1ère coupe du monde E-MTB cross-country
Vélo Vert: «cette discipline fascinante» Des courses de vélomoteurs, ça fait rêver… à choisir on peut préférer l’Alpenbrevet, qui assume sa … lire la suite
Quand de la peinture met les cyclistes en danger
Cet aménagement dangereux à Sion j’en avais déjà parlé:
Pour revenir à ce fameux marquage, pour tous ceux qui veulent continuer tout droit, ce qui est mon cas, il constitue un vrai danger. Pas plus tard que lundi matin, une auto était à ma hauteur une vingtaine de mètres plus tôt.
Pareil ce jeudi matin 23 janvier 2020. Une camionnette de La Poste me talonne de si près que je n’ose plus me diriger vers le centre du giratoire. Elle SE PORTE À MA HAUTEUR dans le carrefour. Heureusement, je quitte le rond-point à la deuxième sortie, comme le véhicule. Mais si j’avais voulu poursuivre dans le giratoire, par exemple pour aller à la Ferme-Asile?
Je me répète. PAREIL lundi matin 27 janvier. Sauf que le mec n’a pas fini de me doubler et prend la première sortie du giratoire, sans même mettre son clignotant. C’est vite vu: si tu n’es pas méfiant, t’es mort. Et ce n’est pas normal. Du tout.
Mieux que Zwift: Danny au fitness
C’est peut-être parce que je n’ai pas encore franchi le pas de Zwift que je préfère le cyclisme en salle de … lire la suite
Pourquoi ne suis-je pas étonné?
Il a neigé sur le Valais vendredi dernier, certes un peu plus à Sion que dans le bas du canton. Mais … lire la suite
Entre Saillon et Saxon, un bon début. Mais timide.
J’avais commencé avec le texte ci-dessous. Ne manquait que la photo, que j’ai prise ce matin en chemin pour la gare … lire la suite
Ni meilleurs, ni pires, bien au contraire
Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas un motorisé qui m’a bien énervé ce soir, entre l’hôpital et la ville de Sion. Mais bien un cycliste. Sans éclairage ni à l’avant, ni à l’arrière, sans catadioptre, au téléphone, adepte du slalom entre autos et de coupes sur le trottoir à 30 km/h. Bref, tout ce que l’on nous reproche à longueur d’année, une caricature vivante de « oui mais les cyclistes vous faites n’importe quoi« .