Ce week-end, à l’occasion des « Strade Bianche », la « polémique » comme le vélo les adore, a enflé pour savoir si cette course méritait le titre de classique ou de monument du cyclisme. Pour la faire courte, je pense que l’on peut s’en foutre comme de l’an 40.
Personnellement j’ai davantage de plaisir à regarder une course de mouvement, qui met aux prises les principaux favoris dans la dernière heure de course qu’un pèlerinage de 300 km avant un sprint en côte, suivi d’un sprint à plat, comme à Milan – San Remo pour rester dans le même pays en parlant d’un « monument ».
Au Strade Bianche, il y a chaque année du spectacle et c’est le plus fort qui gagne. Ça me suffit.