J’ai toujours aimé expérimenter les différents et nouveaux moyens de communication qui s’offraient à moi. Ainsi, après des années à simplement taper sur un clavier, je me suis réjoui de pouvoir ajouter du son à mes articles du Nouvelliste, dès les années 2000 et quelques.
« Armé » d’un iPod mini (vert) et d’un micro, je pouvais facilement enrichir mes articles sur le site internet du journal. Puis est venue la vidéo, ajoutant de l’image mobile aux seuls enregistrements sonores. Avec même des diffusions en direct depuis le téléphone, avec Qik. Puis les réseaux sociaux. Facebook, Twitter, Instagram. Autant de moyens de toucher un public different. Les blogs bien sûr aussi.
Aujourd’hui, on assiste à un vrai décollage des podcasts et au retour en grâce de l’email, avec le renouveau des newsletters , parfois même payantes, qui vont au-delà des efforts des entreprises pour vous vendre leurs salades.
Non, de vraies lettres, plus personnelles, qui arrivent directement dans votre boite aux lettres. Et comme pour le « vrai » courrier, vous en faites ce que vous voulez: vous les lisez, les classez pour plus tard, les jetez.
L’email peut d’abord paraître intrusif, mais il l’est en fait beaucoup moins qu’une page Facebook, une recherbe Google ou une petite navigation sur Twitter, autant de lieux et d’actions qui vous suivront à la trace. L’e-mail, lui, ira à la poubelle si vous le souhaitez ainsi. Ou vous signifiez votre désabonnement et vous ne le recevrez plus.
Aussi simple qu’une lette de La Poste.
Et comme c’est relativement nouveau, j’ai envie d’essayer, en parlant de vélo bien sûr. C’est par ici.