«Certains sujets s’imposent d’eux-mêmes: c’est le cas du champagne, qui fait l’objet d’un dossier chaque année avant les Fêtes dans le T Magazine. Dans ce cas précis, l’intérêt est aussi économique. Il s’agit d’attirer la publicité des grandes maisons de champagne. Ni les sujets à traiter ni les cuvées à sélectionner ne sont imposés. Mais la liberté n’est pas totale, impossible de parler des meilleurs vins effervescents de Suisse dans ce genre de numéro: les Champenois sont particulièrement jaloux de leurs bulles.»
Cela a le mérite de la transparence, mais ce qui serait bien, ce serait de prévenir les lecteurs dans le « T Magazine » lui-même. Je n’ai jamais compris la logique qui ferait d’un produit construit sur une relation « donnant-donnant » entre rédaction et publicité un journal crédible pour le lecteur.
Lire sur le site du Temps: Le critique de vins, une subjectivité assumée – Le Temps