Lorsqu’à l’automne les feuilles mortes encombrent la bande cyclable, ce n’est pas important, ça ne gêne que les vélos. Y en a-t-il d’ailleurs?
Qu’elles soient mouillées et glissantes n’inquiète pas grand monde, c’est sur la bande cyclable, hein?
Et quand ce sont les fruits qui tombent, ce n’est guère mieux.
Et lorsque l’on combine bande cyclable inondée et feuilles mortes? Bah, ça ne touche que les cyclistes, on verra bien pour refaire la route (pleine de trous) un jour peut-être dans un avenir lointain…
Je ne parle pas ici de la neige, vu que certains services de voirie ont pu compter sur la météo pour faire tardivement leur boulot.
Mais quand l’inondation s’étend sur toute la route, à un endroit où elle s’est déjà produite (mais sans couvrir toute la largeur) et que les voitures (qui ne sont pas étanches comme tout le monde le sait) doivent rouler dans de l’eau, alors là…
Alors là, c’est le branle-bas de combat, route fermée, débouchage express de la canalisation bouchée (à cause des feuilles mortes?) et ouverture de la route propre à la circulation.
Enfin, propre pour les autos, car la bande cyclable on s’en fiche. Elle ne sert qu’aux vélos, non?
Mise à jour du 31 janvier. Après quelques jours, la balayeuse a fini par passer. Et c’est quand-même mieux comme ça, non?