De l’utilité du nuage pour abriter ses données

Comme je me charge à titre bénévole de la publication du site web de l’association de promotion du don d’organes A Cœur ouvert, j’hérite aussi des petits soucis informatique de son président. Ce dernier a égaré son iPhone avec lequel il faisait presque tout. Ses emails partaient 99 fois sur 100 du téléphone et non d’un ordinateur. D’où la petite panique lors de la perte du téléphone.

 

Heureusement, sa boîte mail est une Gmail, configurée en IMAP. Comme son nouveau téléphone tourne sous Android, le système d’exploitation pour téléphones mobile de Google, aucun problème pour resynchroniser la chose. Toujours aussi facile pour récupérer les adresses depuis Carnet d’adresses de Mac OS X et les importer dans les contacts de Gmail.

 

Les seules données irrécupérables ont été celles du calendrier iCal, présent sur l’iPhone, mais jamais synchronisées avec son jumeau sur le mac. Désormais, le bonhomme utilise aussi Google Calendar.

Désormais, courriels, contacts et agenda sont stockés dans le « nuage » Google, accessibles depuis n’importe où avec une connexion au net.

 

On peut toujours deviser sur le danger de mettre tous ses oeufs dans le même panier, chez le tentaculaire Google de surcroît. En l’occurence, le service de Google a démontré son utilité et son bon fonctionnement. Le tout gratuitement. Quant à la sécurité des données, rien ne me dit qu’elle soit mieux assurée ailleurs, même avec des offres payantes. Ou me trompe-je?