La saisons des courses touche à sa fin. L’automne est là, avec ses belles couleurs, son air plus fin et moins chaud que la fournaise estivale. La moindre sortie est un vrai plaisir… C’est aussi le moment où on se détourne un peu de ses bécanes pour rêver aux prochaines. Et là, je ne sais pourquoi, j’ai commencé à autant regarder les vélos « de ville » que les VTT ou les machine de route.
C’est que les vélos urbains du jour n’ont plus grand-chose à voir avec l’idée que je m’en faisais. Enfin, certains vélos urbains, que l’on trouve ailleurs que dans nos grandes surfaces. Et comme mes origines scandinaves me font facilement tourner la tête au Nord, les vélos danois Viva attirent irrésistiblement mon regard… Merci au site Weelz pour la découverte.
Viva est une entreprise fondée par Lars Andersen, qui dessine encore les vélos avec le designer Henrik Norby. Un savant mélange de classicisme, d’innovations – ou plutôt de remise au goût du jour de techniques anciennes comme la transmission à cardan – et de technique. Personnellement, j’ai un petit faible pour le Kilo. Un double porte-bagages pour deux cartons de bouteilles, un look délicieusement rétro mêlé d’efficacité…
Après, avec ce genre de bécane, on ne peut pas non plus coiffer son casque rouge pétant que l’on enfile pour les compètes de VTT ou sur route, non?
Heureusement, les scandinaves de Viva ont ce qu’il faut. Mais je préfère encore les couvre-chefs de Yakkay. Tiens, encore des Danois. Une coque sur laquelle on peut ajuster différentes coiffes, selon qu’on est un homme ou une femme, selon l’humeur du jour peut-être aussi. Ou selon le vélo…