Selon l’agence italienne Ansa, qui a dévoilé mardi 5 août l’information, confirmée quelques instants plus tard par la fédération italienne, Emanuele Sella (CSF) a été contrôlé positif à l’EPO le 23 juillet lors d’un contrôle «hors compétition, inopiné et ciblé». Des traces de CERA, un dérivé de l’EPO avec un effet retard, auraient en fait été trouvées dans l’organisme du coureur italien, vainqueur cette année de trois étapes sur le Giro, et sixième du classement général à l’issue de l’épreuve.
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Décidément, il y en a toujours qui n’ont rien compris. Et comme disait David Millar (!) cet été encore: «Si quelque chose semble incroyable, c’est que ce n’est pas vrai…»