Un type à vélo. Parfois cycliste aussi.
L’automne dernier, après avoir décidé de ne plus utiliser mes appareils Garmin défectueux, j’ai acheté un Karoo de Hammerhead dans …
Une étude sur 18 ans et portant sur 82297 adultes révèle que l’utilisation de la bicyclette pour se rendre au …
Ce matin, comme souvent, j’ai pris mon vélo pour me rendre au boulot. Il ne faisait pas trop froid (6 …
Encore une belle rando à la Pointe de Chemo (2627 m) sur les hauts d’Ovronnaz. Un peu difficile après quelques …
Belle rando à skis aujourd’hui, avec Caroline jusqu’à la Dent de Morcles, le plus haut sommet (2969 m) de notre …
Il neigeait légèrement au départ de Fully ce matin et on dira qu’il faisait presque beau. Ce fut de pire en pire en remontant le Valais central. Queques glissades et gros flocons en arrivant à l’hôpital de Sion.
Il ne faisait pas si froid ce matin, autour de 0 ou -1°c par endroits. Le givre crissait sous les roues et scintillait à la lumières des lampes.
Onctueux. C’est le terme qui m’est venu à l’esprit au sujet du Yeti SB130 lors de cette petite sortie dominicale dans les Follatères. Un vélo peut-être un peu lourd, mais uniquement sur la balance, car je n’ai jamais l’impression de traîner un boulet en montée. La suspension reste «haute» et vive, sans s’affaisser. Et elle est redoutable d’efficacité dès que la pente s’inverse. Un régal pour ces sorties à allure modérée pimentées de quelques passage «plein gaz » si on le souhaite…
Les berges du Rhône étaient évidemment dégueu ce matin entre Chamoson et Ardon, mais le paysage autour était pas mal avec cette petite brume revigorante…
Pro Vélo déplore le mauvais déneigement des pistes et bandes cyclables dans les communes valaisannes et rappelle aux autorités que la petite reine est un moyen de transport utilisé aussi en hiver. Pour faire bouger les choses, l’association lance un concours pour désigner les pires et meilleures élèves en la matière.
L’Union démocratique du centre (UDC, parti suisse pas du tout au centre comme son nom l’indique): “Vous n’y songez pas, ce serait une mise sous tutelle”.
«Benjamin Giezendanner, conseiller national UDC et entrepreneur dans le domaine des transports, n’a en revanche que faire d’une obligation. Il mise sur la «responsabilité individuelle plutôt que sur la mise sous tutelle».