Par ricochet, ce seront les moyens à disposition des routes cantonales qui seront touchés. Cette annonce, additionnée aux effets de l’inflation, risque donc de ralentir le rythme actuel des investissements dans les infrastructures.
Quand l’argent vient à manquer, il est temps d’investir dans ce qui coûte le moins cher: les infrastructures cyclables. Et ce n’est pas moi qui le dis, mais l’ancien maire adjoint de Copenhague Morten Kabell. Pour lui, “si vous n’avez pas les moyens d’investir dans ce qui coûte le moins cher, c’est que vous avez encore trop d’argent…” Comme dans cet entretien (en anglais).
Article original: Coupe budgétaire dans les transports publics: les routes valaisannes pourraient en faire les frais