Stöckli se focalisera à l’avenir sur les secteurs «Ski» et «Commerce de détail» et a décidé de retirer du marché sa propre ligne de vélos à partir de l’été 2018, annonce-t-elle dans un communiqué de presse diffusé jeudi.
Stöckli développait elle-même ses vélos depuis 2010 pour le marché suisse, et les distribuait dans ses propres magasins de sport. «Le marché des fabricants de cycles s’est profondément modifié ces dernières années, avec des politiques d’investissement toujours plus agressives et des cycles de renouvellement toujours plus courts», écrit le fabricant suisse. «En considérant ces différents facteurs, la société Stöckli a décidé de retirer sa propre marque de vélos du marché. Les fonds ainsi libérés permettront à la marque de sport suisse de se focaliser sur le renforcement et le développement des secteurs «Ski» et «Commerce de détail», ses deux activités principales.»
L’entreprise, qui entend toujours vendre des vélos ( BMC, Flyer et BiXS) dit vouloir «profiter de ce tournant pour renforcer au sein de ses succursales ses compétences dans le domaine des vélos et vélos électriques.» Les propriétaires de vélos et vélos électriques Stöckli, pourront continuer de profiter des prestations de garantie et du service de l’entreprise.
Etant propriétaire de 2 vélos Stoeckli ET (dame/homme), je dois changer un pneu arrière 26″ et n’en trouve nulle part. Avez-vous un concessionnaire dans la région soleuroise ou pouvez-vous nous en faire parvenir deux? C’est vraiment triste et déprimant de s’entendre dire partout chez les vendeurs de vélos que « nous nous sommes faits avoir ». En effet, investir pour les 2 vélos ~9’400.- et personnes n’a le software pour effectuer les services, les pièces de rechanges sont donc innexistantes, …
Nous avions choisi Stoeckli pour le soit disant sérieux d’une entreprise suisse et maintenant on se demande si Stoekli se moque de ses clients, qui, bien entendu n’achèterons plus rien portant cette marque. Nous sommes complétement frustrés et décus.
Bonjour, j’ai fait suivre votre commentaire à Stöckli, qui répond ce qui suit.