Suite de mes (més)aventure avec mon Powerbook dont le disque dur interne a rendu l’âme. Je vous passe les détails sur l’achat du Mac Mini (j’ai préféré le revendeur local à l’Applestore en ligne, mais je ne suis pas sûr d’avoir bien fait…) pour me concentrer sur la suite. Déballage, installation. Zut, la machine est encore sous Mac OS X 10.5, aka Leopard. Sur l’Applestore elle est déjà en 10.6, aka Snow Leopard. Pas grave, ça me permettra de tester la mise à jour…
Démarrage, tout fonctionne. Normal. Vient ensuite la récupération de mes données depuis le disque de sauvegarde grâce à Time Machine. Ça prend un peu de temps, mais fonctionne à merveille. J’avais déjà testé la récupération d’un fichier ou l’autre. Mais tout un système, jamais. Ça marche tout aussi bien, via un assistant qui permet de sélectionner ce que l’on veut transférer (données seulement, applications, compte utilisateur complet…)
Au final je retrouve un ordinateur vraiment l’identique. Avec mes données, mes applications et toutes les préférences (réseau, fond d’écran, raccourcis…). Rien n’a changé, sauf le moteur on va dire. Et le Mac Mini (avec juste 4 Go de mémoire vive plutôt que 2 Go) est un vrai plaisir. Silencieux, puissant, petit, mignon.
Et pour les sauvegardes, ce coups-ci, j’ai décidé d’en faire encore davantage. Time Machine d’une parte, mais aussi un clone (copie parfaite de l’ordinateur) sur un disque dur externe que j’emporte hors de la maison. Je devrais être à l’abri de toute mauvaise surprise. Et pour réaliser le clone, on peut employer l’excellent Carbon Copy Cloner (gratuit – don souhaité). Comme je disposais d’une licence, j’ai opté pour un autre programme, Super Duper (30 francs suisses environ), en anglais, mais très simple d’emploi et intuitif. J’écrirai un petit mode d’emploi à l’occasion.